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DYONISOS

DYONISOS

Ex professeur de physique chimie, devenu poète nouvelliste. Amateur de sciences, informatique et échecs.

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L'Uni...Vers Poétique de Dyonisos

Vous trouverez ici, l'essentiel de mes écrits. Faites moi vos remarques, vos suggestions. Toute reproduction de texte est INTERDITE. Protection Copyright © N° : YCPT18C.
DYONISOS DYONISOS
Articles : 415
Depuis : 18/02/2010
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Le code de la porte...

Le code de la porte...

Je viens de composer le code du clavierEt la porte blindée s'ouvre sur le couloirLe lieu est éclairé, et pourtant il fait noirL'unité Alzheimer sur moi s'est refermée Les murs sont recouverts de dessins enfantinsDes gâteaux sont posés sur des tables fleuriesDans un fauteuil de cuir un vieillard me sourit Tandis que son voisin, en pleurs me t

Simone...

Madame vous tenez Antoine par la main Tout comme vous le fîtes durant 67 ans Je me souviens de vous, du souvenir des camps Et de votre combat dédié à l'être humain Vous fûtes critiquée pour vos engagements Et traitée de nazi par de bons catholiques A vous qui jeune ado aviez connu la trique Vous la juive jetée dans la noirceur des camps Ma

Je ne suis pas bien loin...

Je ne suis pas bien loin... Poème Hommage pour la sépulture de ma mère... Non ne me pleurez pas, riez, faites la fête Je ne suis pas bien loin, car je suis dans vos cœurs Être là avec vous me comble de bonheur Ne croyez surtout pas qu'aujourd'hui tout s'arrête Avec vous j'ai passé des moments merveilleux J'ai pris part à vos vies, et puis

La Cure...

En cure on voit de tout, du mou et du fripé Des éléphants de mer, des boxers, des sharpeis Quelques vieilles momies, liftées ou botoxées Et d'autres en souriant qui perdent leur dentier Les hommes quant à eux sont bien représentés Par quelques vieux messieurs aux prothèses d'acier Se pressant le matin pour les activités Après le yaourt b
Une si bonne mère...

Une si bonne mère...

Ecrit suite aux propos débiles d'une influenceuse, entendus sur une chaîne télévisée, et dont je tairai le nom, afin de mieux l'oublier... Tu es arrivé dans ma vie Je suis une maman ravie Ton papa ne te voulait pas Et je t'ai gardé malgré ça Six mois d'enfer à te changer... Tes petits pots si tu les veux Il te faudra payer pour eux Quand
Retour de croisades...

Retour de croisades...

_ "Qui vient tambouriner aux portes du château ? Manon allez donc voir et revenez me dire ! Je crains que ce ne soit le lourd pas de Messire Disparu pensait-on quelques cinq ans plus tôt !" _ "Madame c'est bien lui... Il demande après vous ! Son heaume est poussiéreux, sa barbe mal taillée Son blason fort terni, son armure rouillée Ce sera à
Hou ! Hou ! Hou ! Le vilain virus !!!

Hou ! Hou ! Hou ! Le vilain virus !!!

J'ai quelques souvenirs de mes jeunes années Mais encore aujourd'hui je ne sais toujours pas Qui avait eu raison de maman ou papa D'accepter le vaccin ou de le rejeter Papa étant docteur à la Salpêtrière Nous avait enfermés avec tous nos jouets J'avais remis sur roues mon tank un peu rouillé Confinés au grenier… Nous déclarions la guerre
Le palier

Le palier

Ce jour le temps passé rejoint le temps présent Et j’entends de nouveau ce cœur qui s’épuisait Tu semblais endormie et moi je te parlais C’était en d’autres lieux voilà tout juste un an Finir nos vies à deux, nous nous l’étions promis Mais Dieu a décidé d’éloigner nos chemins Je lui en ai voulu mais je pense à demain Je ne r
Fière institution !

Fière institution !

C'est une institution, dite marée-chaussée Regroupant autrefois de virils moustachus Les femmes ne pouvaient, fussent-elles poilues Espérer intégrer ce puissant corps d'armée Un certain Clemenceau vint à concurrencer Ce vivier masculin à l'esprit étriqué Créant une unité de super-policiers Sans pour autant penser à la féminiser Par con
De l'avis général...

De l'avis général...

Messieurs je ne suis pas de l’avis général De ceux dont on prétend qu’ils ont la science infuse Qui tels de vils serpents tout en fiel, tout en ruse Font le jeu des esprits qui dévient vers le mal Avons nous oublié qu’aux heures les plus sombres Des gens au seul motif qu’ils n’en aimaient pas d’autres Des suppôts de Satan se sont