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Simon

Simon

Textes, paroles, et quelques arbres encore debouts.

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Le blog des Peupliers

Paroles, textes, et quelques arbres debouts.
Simon Simon
Articles : 52
Depuis : 21/09/2010
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Fauteuil

A ssise sur son fauteuil Elle se repose de ses journées De ses journées d’un grand deuil Le deuil de ce qu’est travailler. Assise sur son fauteuil Elle regarde la télé Elle griffonne quelques feuilles Pour se souvenir de ses pensées. Etalée sur son fauteuil Parfois elle reste à veiller Jusqu’à ce que son autre œil Ne daigne égalemen

Les histoires

Toutes les histoires commencent le soir Dans l’obscurité on se montre On s’imagine que dans le noir Personne ne s’en rendra compte Toutes les histoires commencent le soir, Sans doute un peu mieux réveillé Ou au contraire un peu trop noir On se sent bien plus inspiré Toutes les histoires commencent le soir Après des journées bien ratées

Girl

Girl, Danse avec moi, Dans ces palais merveilleux De lumière et d’obscurité. Vois les mille fantômes Que dessine la nuit Sur nos rêves dorés. Embrasse moi Pour que ce voyage chez toi A jamais me retienne, Ile perdue, Souvenir d’enfant, Oublie moi, Ou bien reste Et tue moi. Retour au sommaire

La première fois

1 C’est à la fin qu’on peut s’embrasser Comprendras-tu mon embarras ? Peut-être n’est-il pas encore temps Car nous ne connaissons pas Pas encore déjà Ce qu’il reste maintenant Mais le jour va arriver Ce qu’il faut que je te montre Car ce qui compte c’est le voyage Jusqu’à notre rencontre La première fois 2 Aujourd’hui j’ai

Rhé

Il y a les oiseaux, des nuages aussi Ce vent frais, les dunes cachées par les maisons Il y a ces enfants joueurs, qui crient sans raison Sur un ciel reflet, un chaud soleil s’est assis. Retour au sommaire

Eclipse

U ne journée d’été, de raison et de vœux pieux Un ami me disait sur un chemin perdu Où brillait le soleil d’un éclat éperdu « Tu ne verrais plus, si tu y portais les yeux ». J’ai suivi son conseil, la raison m’a gardé, Et elle, elle a marché sur le même chemin Tout près de moi, oui, mais pas la main dans la main J’ai regrett

Les chiens sont populaires

Les chiens sont populaires Avec leur queue en l’air Et qui suivent leur maître Ne font rien qu’il ne permette Les chats s’en fichent Les chiens sont populaires Les quatre pattes en l’air Pour un petit frisson Et pour garder la maison Les chats sont beaux Les chiens sont populaires Avec le nez en l’air Manger quelques croquettes Arroser q

Vampires

Du sang coule de mes yeux, Blessure mortelle d’où s’échappe ma sève Ange déchu, quels sont nos cieux, Où s’enfuient donc tous nos rêves ? Princesse de lieux inconnus Nymphe de mes forêts Que suis-je devenu Emmène-moi ; je suis prêt. Tu m’embrasses, tu t’éloignes Evanescente vision, tout s’assombrit Je tombe, tu as bu de mon sa

Jacques le fantôme

Jacques n’a rien d’un grand méchant Il a juste ses habitudes Alors quand il a le temps Il évite la solitude Personne ne le reconnaît Mais tout Nantes lui a parlé Il n’est pas vraiment mauvais Tout juste un brin dérangé Planqué au coin d’un vieux bar Il vous balance ses idées Ses quelques refrains anars Et des tonnes de vieux cliché

Mauvais temps

La petite goutte d’eau tombe sur la place Le sable s’assombrit et il garde la trace On la distingue encore et puis elle s’efface Mais sitôt disparue une autre la remplace L’horizon s’obscurcit, le ciel semble moins grand Le soleil qui se cache et sa douce chaleur Contre laquelle elle aimait blottir sa fraîcheur S’en est allé maintena