Avec des soleils et des pluies je me voulais comment dire, petit livre mais grande histoire, arc-en-ciel avec mes crayons de sorcier et des couleurs tout autour de toi mes mains t’appellent mes sourires te croisent comme d’infinis poèmes jyledorze
Jean-Yves Le dorze
Jean-Yves Le dorze
Poète par conviction et par plaisir des mots depuis l'enfance.
je ne cherche pas la célébrité, c'est d'une façon complètement désintéressée que j'écris, juste pour le plaisir.
J'ai tout de même une ambition: éditer au moins un recueil.
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Le blog de Jean-Yves LE DORZE
le propos de ce blog est de voyager sur les Encres, les Mots, la Poésie surtout. J'espère que vous serez nombreux à visiter ce blog, tous les messages sont les bienvenus.
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Jean-Yves Le dorze
Articles :
179
Depuis :
12/05/2009
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Si tu le veux avec un peu de soleil et les crayons blonds des anges j’aimerais à cette heure de la lune vieille te laisser ces quelques mots, mon ange les mots du monde mes mots d’arpenteur mes mots d’artisan poète qui repeint le cadran des heures qui attend la révélation des heures muettes dans l’ombre des rocs tourmentés . si tu le v
Où est ta voix ? mes regards piétinent en ton silence mes pieds instables, mes bords de falaises, mais ma voix sans ta voix, qu'est-ce? la rondeur de ta sagesse sur mes épines l’écho d’un bonheur me renvoie le boomerang d’une renaissance touché par l’étamine d’une éclipse je chemine l’âme engourdie par la tendresse de ton visage
Scarabées bleuis aux langues du soleil près d'un ciel bleu la maison où passe le rire des belles aurores nous aimions cette enfance où sous les tonnelles tourbillonnaient les oiseaux inventifs de nos cris de joie. jy le dorze
L’océan brûle d’un soleil dans la gorge blessures enveloppées de sel silence dans les blés et vent dans l’orge d’où viens-tu ange de l’ouragan si belle j’ai tremblé de ta détresse criante enveloppé de tes chants enveloppé de tes voix tremblantes tu es la mer je suis ton bateau errant ouvre-moi ton chemin offre - moi tes blessur
Que voudrais-tu laisser de si beau après avoir vieilli autour de ces ombres ? que voudrais-tu ajouter a ta parole si brève qui fut ce si petit feu ? que voudrais-tu édifier sur la halte de ton chemin avant de demeurer celui qui dort ? j’aimerais laisser mes mains dormantes sur des robes rouges j’aimerais laisser ce genre de feu qui rapproche
Les regards resteront lenteurs dans l’aube et revivront comme petits cailloux dans la lumière comme cet air entre nous qui ne veut plus jamais s'évanouir jyledorze
Au soir courant vers le dénouement des nuits ce passant soudé a la courtoisie des étoiles s'appuie au bonheur du ciel la voix des astres et les feulements de la mer ont taillé en lui les bois de la lyre poète des nuées passant des lunes dans le miroir des fontaines jean_yves l e dorze
J’ai caressé le ventre d’une étoile sur le reflet de la mer j’ai peigné le sang des sirènes dans l’abondance fleurie de toutes les écumes j’ai bu tous les fruits de la chevelure des sables j’ai poursuivi de mes mains bâties en caravelles le chemin odorant des côtes et retourné par la paume de ces mâts en voiles la surface palpi
Aux vitrines embuées les yeux beaux comme des calices une ligne de vers bien aimés fait l'amour au silice au silence du sable dorment encore les nacres de nuit joue poète joue à l'impalpable roue qui tourne dans la nuit entre le parfum idéal dans mon âme qui se grise laissez-le le cristal le verre qu'on idéalise bu j'ai bu le vers m'enivre e