Tu dis : « Il ne me reste que peu de temps, c’est une drôle de phrase » Tu dis : « Drôle d’époque où l’on cherche à éviter la mort à tout prix » Tu dis : « Combien de femmes s’étirent la peau, pour rêver d’une jeunesse éternelle ? » Tu dis : « Combien d’hommes soulèvent du métal pour sembler moins fragiles ? » Tu dis

Le vent glacial, hivernal agita la forêt recouverte d’une neige brumeuse Une goutte tomba et des vaguelette se propagèrent à la surface de l’eau La neige tomba et le sol s’effondra. Tout le monde entendit la voix silencieuse de cette forêt Elle versa des larmes tout en écoutant le bruit. Soudain, le vent emporta tout: l’hiver, la neige

Je t'ai perdu Sans chemin de retour Par une nuit d'hiver tu es parti rejoindre mon passé celui dont je ne cesse de rêver La terre se creuse, craque, s'effondre à ton approche Je ne cherche plus de réponse à ce que tu es Tu longes mes souvenirs comme le long de notre rivière gelée. Tu m'appelles, ton nom ne disparait pas. Toi, l'amoureux de l

« Je t'aime » Ce fut le dernier mot de la femme que j'aimais. Lorsque le jour J arriva, j'enfilai mes habits noirs. Jour de deuil. C'est la chose la plus simple dit-on, de faire son deuil lorsque on est encore jeune car on a encore toute notre vie pour combler ce trou créé par le décès d'une personne. Sauf que voilà, je viens d'avoir quatre-

Au dessus des nuages Un oiseau vole à travers les âges Il se tient haut dans le ciel ne pouvant reposer ses ailes. La pluie tombant doucement par terre, L’odeur de la pluie comme celle des larmes sur mon visage Et de ce goût amer Que provoque ce regret. Si je reste Tu m’abandonnes Si je reste Tu me pardonne? Je t’aurais suivie n’importe

La petite fille La petite fille, regardant par la fenêtre Elle reste sans cesse assise ici. Elle attend un appel Et il ne vient jamais Allongée, éveillée la nuit Parce que quelqu'un te manque. C'est ce que l'on ressent, Quand quelqu'un te manque Et que tu restes à brûler. Une petite fille a laissé son poème près de la fenêtre. Une petite

Tu m'as donné l'espoir de vivre C'est comme les rayons de soleil traversant les feuilles des arbres De doux souvenirs restes dans mon cœur Je sais que si tu existes... Tu m'as donné l'espoir de vivre Laisse moi toucher tes larmes comme autrefois "Les mots sont un rempart pour se protéger de la douleur extérieur"

"Ce sont les choses auxquelles nous tenons le plus qui nous détruisent" The Hunger Games