ce ne sont pas des plaintes d'amour, mais quand tape le soleil sur mes paumettes, je n'ai en tete que ces remords et anciennes fixettes . il faut que je parte, ou que je lui parle ; lui avouer mon peché veritable . celui qui m'attrape quand les bras d'un homme s'écartent . on aurait pu être heureux , je le sais , mais qu'en est il des choses vra
Anna Stern
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Littérature, BD & Poésie
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ce soir, il n'est pas tard, il n'y a pas de larme, il n'y a pas de souffrance ; simplement quelques questions qui me taraudent . des questions que j'avais enterrées surement, ou qui, tout simplement n'existaient pas . mais je ne les aborderai pas, là n'est pas le sujet . je vais écrire à mes quelques amis auxquels je tiens le plus au monde , qu
il y a dans le coeur des reflets d'aurores, amatrice d'hédonisme, je sirote ce café, je pense à toi, à eux, à ces corps si doux qui glissent contre le rivageleurs histoires, leurs vies, chacune parsemée de remords et de tendresserien n'a plus vraiment de senson le cherche chez les autres chez toichez euxoubliant le vide, l'hemistiche et la cr
Lettre à l'incompris, voilà un moment que tu es parti. je t'ai cherché parmis les pavés et les gens absurdes que l'on croise entre des murs. j'ai fouillé des terres, parlé au ciel, même jouer à des jeux un peu supersticieux. mais rien n'a fait, tu t'es évaporé. les rues ne sont pas moins vide sans toi, le ciel est toujours aussi bleu, et
a 2h50je lui parlede choses et d'autresmais il est au près de moicollé à mon coeurje lui accorde mes doutes et peursil est, oreille tendue, un caresse de passagepuis mon âme l'appellele cherchemais il n'y a personnesauf collé à mon coeurmes yeux en pleurent si loin de toi si loin dans tes souvenirsje sais bien que tu m'oubliesalors je fais de
tu danses , tu te laisses aller , du moins c'est ce que tu sembles montrer , je sais que tu n'es pas ce que tu me montres mais je trouve ça séduisant , avec ton nez bronzé et ton regard rieur , tu es belle , c'est donc toi , la nourah que j'ai cherché partout , si longtemps , nourah , nourah sans h , noura que je pensais avoir inventée . noura
"C'est que tu ne m'écoutes jamais non, non et non, tu veux écrire quelque chose avec un titre faux, et idées fausses. Toi, qui sur du papier ou un écran essaie de représenter des choses, qui n'existent que dans ta tête, si c'est la dedans et pas en vrai c'est pour une raison. Non alors non, je ne me laisserait pas représenter une fois de plu
loin de moi la moindre plainteloin de moi les regretsau grés du vent je m'empreintej'ai cassé la charpenteprulvérisé des amandes au creux de mes dentsqui d'entre eux connait les espritsqui se lamententsans toi il n'y a plus rienla mere se bouscule et crache son écumeles mouettes arrachent des bout de vagueton seul visageles autres comme des mi
"je... je..." .pause. "non merci, c'est gentil, non non, non... merci... mERci... non c'est vraiment gentil" .pause. "je ne sais pas comment te le dire c'est tout, non merci c'est gentil je n'ai pas soif" .pause. "oui, tout se passe bien ici, oui et toi ? non pas d'eau tu es bien gentil... non non je t'assure" .pause. "j'ai voyagé, oui oui, je sui
le sol gronde. le train jubile. il s'en va. normalement ce sont les humains qui fuient. mais le train n'a aucune pitié. le monsieur court, manque de tribucher, mais le train est déjà bien loin. les humains sont donc si têtus ? poursuivre un train qui s'en va, s'accrocher à un passé qui ne voulait pas de soit. triste fragment de réalité qui