Par Thomas Jehel

“We’re born to live We’re born to die We’re forced to swallow this pills and to never ask why” (Hollywood Undead-Disease) Le tic-tac de l’horloge, tâche sombre au milieu de l’océan du mur blanc, égrène le temps qui passe. Minutes, heures, jours, mois, années, rien n’a plus d’importance. Il est simplement là. Assis dans son f

« Let’s watch it burn » La fumée s’élève au loin. Unique trace visible du brasier qui ravage cette terre désolée. Un cri rompt le silence, puis plus rien. La fin du monde tel que tu l’as connu est proche. Peut-être même qu’elle est déjà là. Des ombres sans visages apparaissent des flammes. Les centrales nucléaires ont explosée

“Street Dreams” Le soleil pointe à l’horizon, sonnant la mort du crépuscule qui représente ta seule échappatoire. La nuit tu ressasses tes souvenirs ; c’est tout ce qu’il te reste. Tu te souviens de l’époque où le monde tournait correctement ; cette époque où des hommes en gouvernaient d’autres, où l’univers était régi pa

Refrain : Lumières allumées Tu parles trop fort Alors fermes ta bouche Putain, qui es-tu maintenant ? Lumières allumées Comment te sens-tu maintenant ? Nous t’appelons dehors Qui es-tu maintenant ? Couplet 1 : Style de vie des jeunes et téméraires Vérifies dans le monde réel qui ne pose pas question Evitant leurs balles comme dans un fout

Par Tiphaine (https://www.facebook.com/Hinatattoo?fref=ts)

“I guess I’m a man with no recourse, As I crack another bottle, got no remorse. “ (Hollywood Undead-Pour Me) A l’horizon, le soleil se lève sur un nouveau jour. Nouvelle aube sur un tourment qui n’en finit jamais. La lumière filtre à travers les rideaux de coton du motel misérable où ton corps alcoolisé t’a porté deux heures avan

“Who could give a fuck about a kid with a dream? 'Cause stories aren't told about the ones unseen.” (Hollywood Undead-We Are) Hollywood Undead, c’est un nom sur lequel on crache ou que l’on adule. On les aime à mourir ou on les déteste. Dans les deux cas, c’est toujours une histoire de passion. Hollywood Undead, c’est le cri d’une j

Intro : Je ne crois plus en tous vos démons désormais C’est dur à voir avec quelques raisons avant Je mens éveillé et fais face à ces ombres dans la nuit Je vois la vérité à travers des yeux pourpres Refrain : Ramènes moi à la maison Ramènes moi à la maison où les agités vont Agité jusqu’au jour où je donne du repos à mes os I

Par Thomas Jehel