Walt Whitman "La plus grande poésie des temps modernes, égale à celle d'Homère, Shakespeare et Dante, sonne dans ces Feuilles d'herbe. Elles eurent pour créateur un solitaire américain poussé comme un gratte-ciel dans un désert inculte de maisons à bas étages. En 1855 Walt Whitman, de Brooklyn et de Manhattan, fit claquer ses vers comme d
Murielle Compère-DEMarcy (alias MCDem)
Murielle Compère-DEMarcy (alias MCDem)
Auteure publiée dans de nombreuses revues et anthologies. 2 recueils de poésie à son actif. Passionnée par l'écriture poétique dans tous ses états. Publiera cet été 2014 un recueil de nouvelles.
Met la poésie sur le feu de chaque jour, 24h/24.
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Arrêt sur poèmes
"Chaque poème à son jour /
Chaque jour a son poème."
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Articles à découvrir
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Collage du jour, Ghislaine LEJARD. 05/04/2015
"o ces soleils dans le trousseau d'une mémoire dont chaque clé ouvre / différente / une porte sur Demain. Tryptique du temps, ors du passé, or du présent, ores et déjà demain---" Murielle Compère-Demarcy, 05/04/2015
Barbarismes et tumultes lexicologiques
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""In Memoriam" de Gilbert Desmée", par Jean-Louis Rambour, Festival de Poésie, Creil, le 28.04.2015
"Maria Tu dort Le moulin des mots dort Coups de dagues dans l'eau Dague des mots de ce soleil mal éteint dans l'eau Mais Tu Nous veillent encore au-delà / dans l'eau-delà / dans l'au-delà de l'eau-dela des mots veillent encore par-delà la doul
«L'art a pour devoir social de donner issue aux angoisses de son époque. L'artiste qui n'a pas ausculté le cœur de son époque, l'artiste qui ignore qu'il est un « bouc émissaire », que son devoir est d'aimanter, d'attirer, de faire tomber sur ses épaules les colères errantes de l'époque pour la décharger de son mal-être psychologique,
Lire entre les lignes dit-elle rend l'interprétation du monde élucidifère Revient la leçon énoncée par Antonin Artaud à propos de Van Gogh : Un aliéné est un homme ... qui a préféré devenir fou Elle tient l'équilibre comme formidable équinoxe bousculant la rythmique équidistante du temps sidéral, son tempo biologique rechargeant l'h
Et ce ciel a dévoré jusqu’à l’avant- dernière miette de cette nuit aux sangs retournés en-dedans de nos lèvres ourlées de mots abouchés au noir de l’horreur ô silence de cette nuit retournée à l’envers comme la liberté de nos gestes dans ce désastre des fenêtres Ce qu’il restait de soleils lucidité acide un zeste d’humani
Poème de Jacques LUCCHESI / éd. du Port d'Attache (Marseille)
Après-guerres Jours heureux Des après-guerres Intermèdes frénétiques Au bal costumé de l’Histoire Quand la Paix enfin reconquise Rétablit dans son plein droit Le bonheur enfantin de vivre Quand le Mal Trop mal enchaîné Gît sous les pieds de la Paix Aux yeux éternellement tristes. Jacques LUCCHESI
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09/09/2014 Dans les artères de la nuit coule le sang des drames du silence & mon sang coule dans ces rus sous l'épiderme des ruelles jusqu'à l'absence du poème où mon cerveau phosphore & source roule / délesté du bruit grégaire / des foules- matadors défaits de ce s caillots de l'embarras où la lumière brûle / blême / explose obstruée
Relié au sens de Sa disparition / par Son absence qui n'aurait pas dû naître Relié au non-sens sous cette neige où l'avion s'est brûlé en plein ciel s'est perdu au lieu de se poser / comme d'un revers de main balayé / insensé Sur le hublot s'écrase la neige / cœurs de cristal chavirés / Chant assourdi de ta peine saupoudrée de sucre-gl