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photographies originales et uniques
Vous aimez la photo qu'on ne retrouve pas partout sur les blogs et sur Google images, alors c'est par ici ! photos paysages, photos insolites, humour, explorations urbaines, vieux objets, maisons abandonnées, photographies de détails, photos qui touchent à la sensibilité et poésie ...
Gérée par Laurence SERRE (Marinier)
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2146 posts
29/04/2015
Articles récents de cette communauté
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Il étau une fois ...
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Faire des photos, c'est bien... Faire des tirages, c'est encore mieux... Mais les vendre à ceux qui apprécient votre travail, là, c'est le top ! La photographie numérique a ça de particulier qu'elle se partage très facilement de façon "dématérialisée". Mais, qui a déjà pris le temps de contempler un tirage de qualité sur papier d'art,
Bien plus qu'une curiosité visuelle, la ruelle champêtre Henri-Julien/Drolet est un petit coin de paradis terrestre. À deux pas du Carré-Saint-Louis, cette oasis de verdure accessible aux piétons est le fruit de près de quinze ans de travail passionné de plusieurs riverains des rues Henri-Julien et Drolet. Insolite et bucolique, ce lieu en p
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Équivalents des vide-greniers ou des braderies en France, les ventes de garage (de l'anglais garage sales) montréalaises se déroulent souvent devant le domicile des organisateurs. Dans une ambiance décontractée, ces derniers se séparent à bas prix des affaires devenues inutiles. Pour faire part de leur événement, ils affichent dans leurs q
Montréal se transforme en un aquarium géant avec les poissons de l'artiste 52 Hz. Les animaux marins parcourent les murs jusqu'aux panneaux de signalisation de la ville. Le pseudonyme de 52 Hz rappelle le surnom donné à une baleine mystérieuse dont la fréquence exceptionnelle du chant serait de 52 hertz.
Les dessins de 52 Hz interpellent parf
Avec ses parcs préservés et ses lacs à perte de vue, la Belle Province recueille les suffrages des amateurs de camping. Sur les routes de vacances, on croise fréquemment des maisons itinérantes ultra-modernes. À Montréal, des vieux modèles de caravanes sont encore visibles et fonctionnels. Ces véhicules rétro au confort rudimentaire rappe
Pschitt ! Repérées dans différentes ruelles, ces canettes compressées ont pour point commun d'être scellées sur un mur et fixées sur un fond blanc. L'auteur anonyme de ces œuvres souhaite-t-il faire un pied de nez à la société de consommation, une ode au recyclage ou encore un clin d'œil au sculpteur César ? Hum-hum... Si l'effet visue
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"Il m'aime, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout..." ou le jeu de l'effeuillage revisité avec intensité.
Parmi les curiosités hallucinantes de Montréal, on compte la façade de ce lieu de culte très spécial. Au-dessus de l'entrée est indiqué un nom d'église qui pourrait sembler attirant pour certains : "Le Chemin du Paradis". Un autre panneau lumineux porte un message beaucoup moins engageant : "Ton âme. Le salaire de ton pêché, c'est l'enfe
Noyé au centre d'un nuage de publicités à Berri-UQAM, ce collage sauvage provoque l'étonnement. Trois feuilles se juxtaposent. Une première page est constituée d'un dessin et de la phrase manuscrite : "on manque de mots pour s'aimer"; une deuxième répète une sombre sentence tapée à la machine : "une tête se fracasse contre le mur de bri
Depuis une couple de semaines, un singulier personnage fait son apparition sous la forme d'autocollants, de petits dessins au feutre ou de graffitis. Cette bibitte* rigolote, aux allures semble-t-il de mouton, prend des postures différentes selon les circonstances. De temps à autre, elle tire la langue, sourit un peu bêtement ou jette un regard
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La vieille dame voûtée a pris sa canne puis est partie rapidement. Dans la précipitation, elle a oublié de mettre son chapeau noir avec une bande de dentelle. Ce chapeau attend son retour depuis bien longtemps ... la vieille dame n'est jamais revenue.
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Au 100 avenue des Pins Est, le Théâtre de Quat'Sous, l'une des plus anciennes compagnies de théâtre à Montréal, arbore systématiquement une accroche de valeur sur sa marquise. Fin 2014, une citation à la portée universelle de Paul Buissonneau (1926-2014) était affichée : "Ne comptez jamais sur rien, ne restez ni sur un échec, ni sur un
"Si vous avez froid. Prenez-en un... C'est à vous ! Ayez chaud et faites quelque chose pour aider quelqu'un aujourd'hui. Si vous pouvez."
À première vue sans intérêt, certaines situations, repérées dans les rues de Montréal, sont pourtant paradoxales voire ubuesques. Elles méritent donc une halte, juste le temps d'une toute p...
Par -1 000*, une sortie magique réchauffe les cœurs transis : celle de la Fête des glaces. Depuis quatre ans, à chaque hiver, cette promenade organisée sur la rue Saint-Denis (entre les rues Roy et Gilford) accueille des sculptures de glace spectaculaires. Le temps d'un week-end de février, des artistes aux mains d'argent taillent et façonne
Quand il fait frette en tabarouette, les plus téméraires font preuve d'une grande inventivité. En témoigne cet igloo bâti dans une cour arrière d'immeuble et aperçu dans une ruelle du Plateau. Petite entrée creusée pour accéder de la maison, "banquette-bar", guirlande suspendue, trou pour stocker les bières au frais... tout a été pens
Certains panneaux de signalisation ou d’avertissement déroutent le Français moyen fraîchement arrivé dans la Belle Province. Comprenant des expressions québécoises, rédigés avec courtoisie mais fermeté, hilarants ou encore incompréhensibles… ils retiennent l’attention.
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Des photos prises en HDR dans une ancienne maison de retraite laissée à l'abandon.
Décalés, amusants et un brin caricaturaux, les personnages hauts en couleur de l'artiste Oh Well surprennent par leur originalité. Oh well se définit sur sa page Facebook comme un "farceur, observateur des gens, anti-apathique, légèrement cynique, dessinateur, artiste et anthropologue adepte du vélo". Observés dans Montréal depuis 2013, se
Souvent présentés sous la forme d'autocollants, les dessins de Homsik (de homesick en anglais : nostalgique) combinent une sensation étrange de douceur et d'amertume. Ils traduisent bien l'expression "avoir le mal du pays". Ainsi, un drôle de mouton songeur arbore sur lui cœurs et pansements ; de curieuses maisons pleurent, sourient à moitié
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Aujourd'hui, la marche "Je suis Charlie" a réuni plus de 25 000 personnes à Montréal. "Unis, nous résistons pour la liberté. Unis, nous créons notre avenir", pouvait-on lire sur une pancarte.
Vous avez le pouvoir de changer le monde !
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“ Je supposerai donc [...] qu’un certain mauvais génie, non moins rusé et trompeur que puissant, a employé toute son industrie à me tromper; je penserai que le ciel, l’air, la terre, les couleurs, les figures, les sons, et toutes les autres choses extérieures , ne sont rien que des illusions et rêverie dont il s’est servi pour tendre
Gemme ! Il suffit de lever les yeux pour courir la chance de déceler un scintillant bijou du Diamantaire, un jeune artiste urbain de Paris. Ce joaillier atypique récupère dans la rue des miroirs destinés à la benne. Avec son savoir-faire, il les transforme, les taille en diamants et les peinture. Ensuite, il assemble et colle ces pièces uniqu
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"Câline de bine, ça fait mal en simonaque !"* *"Mince alors, ça fait vraiment mal !" "Câline de bine" est une forme adoucie du sacre "câlisse", terme emprunté au registre religieux comme de nombreux autres blasphèmes québécois. "Simonaque" pourrait dériver de "simoniaque" : "ce qui est relatif à la simonie, au trafic d'objets sacrés, de
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Perdu dans les vestiges, les vestiges d'un siècle, les vestiges d'une vie. Ne sachant que faire, où aller, un barrage, une issue, mais où ? Tout autour de lui n'était que pierres grises ou noires. Des pierres blanches ? Non, il n'en voyait pas. Ou peut-être que ces yeux ne voulaient pas voir. Ils se baissaient souvent, lassés d'attendre. Au f
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Ancien bâtiment ou se trouver logés les employés, saisonniers qui travaillaient pour l'Hôtel (exploration interrompue, à refaire).
Depuis une dizaine de jours, des phrases noires imprimées sur des bandes jaunes apparaissent sur les vitrines des boutiques et dans l'espace public de la rue Saint-Denis. Attirant l'œil, ces messages incitent le passant non pressé et fureteur à faire une pause lecture inattendue. Baptisé Flânographie sur Saint-Denis, ce projet éphémère est
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Quelle sensation magique de tomber sur la station de métro du Square-Victoria, dotée d'une structure Art Nouveau si symbolique de Paris ! Outre le fait d'avoir le sentiment d'être propulsé gratuitement outre-atlantique, on retrouve un des fameux édicules en fonte de l'architecte français Hector Guimard. Hormis Paris, Montréal est la seule vi
Déposé une nuit d'été dans un jardinet par un mystérieux inconnu, un énorme ours en peluche a éveillé la curiosité de sa nouvelle logeuse et des passants. D'autres doudous se retrouvent aussi esseulés sur un banc ou ailleurs. Ont-ils été malencontreusement oubliés ? Attendent-ils impatiemment d'être récupérés par leurs maîtres ? V
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Derrière l'arbre se cache... la forêt, mais aussi parfois une drôle de figure. Localisés dans les rues et parcs montréalais, cette série de troncs a de quoi surprendre. Voyez-vous aussi de fantastiques paréidolies ?
Ces différents arbres n'ont pas à rougir face à ceux du réalisateur Tim Burton !
Un drôle d'oiseau se répand comme une traînée de poudre dans Montréal. Observé notamment dans le quartier du Plateau-Mont-Royal, il fait son nid un peu partout : murs, portes, poubelles, panneaux de signalisation, boîtes aux lettres... Malgré ses petites dimensions, il est facilement identifiable et donc repérable. Son graphisme reste simp
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La ferme aux vélos est un très bel en droit, il y a possibilité de faire de beaux clichés. Toutes les photos sont en HDR.
Des petits autocollants de zombies aux dents acérées habillent çà et là le mobilier urbain montréalais. À chaque fois, ces personnages aux allures de vampires espiègles ont l'air de transmettre un message de circonstance.L'auteur de ces stickers divertissants s'appelle National Zombi. Voici en images, le fruit de cinq ans de collecte (réac
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Qui se ressemble s'assemble !
Le froid venu, les canidés paradent dans la rue avec leur équipement hivernal. Loin d'être des gadgets, les chaussures ou bottines pour chien sont un moyen efficace de protéger les pattes de la...
Kevin Ledo est l'auteur de cette remarquable murale. "Nous autres, Indiens, vivons dans un monde de symboles et d’images où le spirituel et l’ordinaire des jours ne font qu’un", affirmait Black Elk (Élan ou Wapiti Noir, 1863-1950), chef spirituel et guérisseur sioux. Comme en écho à cette citation, des artistes de rue s'inspirent de l'un
Fin septembre, les feuilles des arbres changent de couleur. Vert, rouge, orange, jaune... la large palette chromatique de la végétation sidère quand elle tranche avec le bleu du ciel. Puis, les feuilles mortes se ramassent à la pelle pour laisser place à l'hiver rigoureux.
Lorsque Montréal revêt son beau manteau de neige, la magie opère. Pr
Au Québec, le terme "barré" s'emploie dans le sens "verrouillé, fermé à clef". En France, il s'utilise parfois familièrement pour dire "givré, fou, bizarre". Les quatre endroits suivants combinent ces deux acceptions. Aucun d'entre eux n'inspire vraiment confiance. Chaque scène crée une ambiance singulière et une tension palpable.
Y a-t-i
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C'est clair comme de l'eau de roche !
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L'Empire contre-attaquerait-il ? Depuis plusieurs semaines, des pochoirs représentant le sinistre Dark Vador, illustre protagoniste de La Guerre des étoiles, se répandent sur l'asphalte. Diffusés en règle générale à l'entrée des ruelles, comme pour baliser le chemin, ils ne sont pas toujours signés. Mais vu le procédé de répétition du
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Accroches percutantes, visuels soignés ou quétaines*... les publicitaires mettent le paquet pour attirer l'attention des passants. Tour d'horizon d'une partie de la cuvée 2014.
Petit traducteur *Quétaine : ringard Sloche : breuvage glacé
Les publicités vues en 2012 et 2013.
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Soyez vigilants ! De "gâteaux" à "gâteux", il n'y a qu'un "A".
Au Québec, on défend ardemment la langue française. Pourtant, des tracts publicitaires, des messages et parfois même des enseignes ou slogans, laissent apparaître des coquilles assez énormes ...
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Zéro cœur = zéro ami ! Et pour cause... Lors de la deuxième édition du Festival Mural, Cazo a décliné des imprimés collés originaux représentant des dictateurs tristement célèbres. Joseph Staline, Hugo Chávez, Alexandre Loukachenko, Nicolae Ceausescu ou encore Benito Mussolini figurent parmi les nombreux tyrans mis en scène de façon
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Oasis de verdure entretenue par des voisins solidaires, aire de jeux pour les enfants, terrain d'expression des graffeurs... la ruelle montréalaise réserve bien des surprises. Au hasard d'une flânerie, le promeneur chanceux déniche des pans entiers de graffitis. Repérés en avril 2014 dans une ruelle au coin du boulevard Saint-Laurent et de la
Un homme averti en vaut deux...
Attention, ceci est une "inDerdiction".
Oyez, oyez, bonnes gens ! La Roulotte prend ses quartiers d'été du 2 juillet au 24 août 2014 ! Depuis 1953, le plus vieux théâtre pour enfants au Québec sillonne les jardins montréalais. Paul Buissonneau, comédien et chanteur français, et Claude Robillard, directeur du service des parcs à la Ville de Montréal, sont à l'origine de ce pro
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"Colore le monde !" fredonnaient Les Innocents dans l'une de leurs chansons. Et pourquoi pas ? Avec de la laine chamarrée, des enfants ont décoré le parc Jean-Jacques Olier, rue Drolet. Tout en alliant poésie et naïveté, les bambins ont revisité leur lieu de distraction favori. Observée au printemps 2014, leur création temporaire rappelle
Voilà l'été bien mérité ! Un vent de liberté souffle sur Montréal. Loisirs et réjouissances battent leur plein. Au programme : des festivals éclectiques, des piscines, pataugeoires et jeux d'eau pour les enfants à la pelle... Sans oublier bien sûr, les pique-niques dans les parcs, mais aussi des barbecues, potlucks et apéros à la maiso
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Peu avant le lancement de la deuxième édition du Festival Mural sur le boulevard Saint-Laurent, des autocollants inédits ont envahi l'espace urbain. Les artistes qui intervenaient en on ou en off ont utilisé ce procédé pour faire du buzz. À mes yeux, les stickers de la française Kashink sont sortis du lot avec un effet de surprise habile. L
Souvent colossales, les fresques montréalaises frappent l'œil. Voici une sélection de murales vues dans le Mile-End, le Plateau et Ville-Marie. Incontournable et annuel, le Festival Mural met à l'honneur l'art urbain en fédérant plusieurs artistes locaux et internationaux. Pendant quelques jours, le boulevard Saint-Laurent, appelé aussi la M
Signées Gilbert Boyer en 1988 et fixées sur différents édifices montréalais, des plaques gravées mettent en exergue une pensée furtive relevant de l'intime ou de la vie quotidienne. Au cours de mes balades, j'en ai trouvé sept par hasard. Intitulée "Comme un poisson dans la ville", cette œuvre était à l'origine constituée d’une douza
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Bizarre, désopilant, inquiétant, "trippant"... l'univers de Waxhead est composite. Au détour d'une ruelle sur un mur en briques, sur une porte, une boîte aux lettres, un panneau de signalisation... des créatures fantasmagoriques apparaissent en petit, moyen et grand formats. En forme de troncs d'arbres, de monstres ou de curieux animaux, ces p
Près du Carré-Saint-Louis, un mystérieux chat à la crinière de lion fait son numéro à chacune de ses sorties.
Des mots optimistes envahissent les pylônes, les murs et, plus généralement, l'environnement urbain. Des clins d'œil bienvenus pour passer une journée dans la bonne humeur.
À l'arrivée des beaux jours, les vieux modèles de voiture attirent l'œil. Bye-bye le temps des chars sales, couverts de poussière ou de sloche. Parquées dans la rue, certaines automobiles sortent du lot avec leurs carrosseries lustrées. Retour à l'époque de la série télévisée Starsky et Hutch, de l'intrigue palpitante de Christine de S
Pourquoi une roulotte de chantier s'est-elle établie sur un terrain vague à proximité du métro Saint-Laurent ? Dans le cadre d'une réhabilitation futée de cette zone marginalisée, Dare-Dare, le centre de diffusion d'art multidisciplinaire de Montréal, a choisi d'y abriter son quartier général. Ce local insolite est recouvert présentement
Au Québec, les intitulés des repas diffèrent de ceux de la France. Ces petites curiosités sonores nécessitent un certain temps d'adaptation et d'assimilation. Inutile de dire qu'au début, on s'emmêle souvent les pinceaux. Les Québécois disent ainsi : le déjeuner pour le petit déjeuner le dîner pour le déjeuner la collation pour le goû
Au fil de l'eau. Murale de Phillip Adams. 2013.
N'oublions pas que les petites émotions sont les grands capitaines de nos vies et qu'à celles-là nous y obéissons sans le savoir.