Enfin un peu d'intérêt dans cette série! après deux tomes soit complètement naze ( tome 8 ) soit inutile ( tome 9 ), ce tome 10 intitulé porté disparu remonte un peu la pente. fini la morale de bas étage et les péripéties qui tournent en rond. ce story-arc en quatre épisodes voit matty prendre enfin conscience de la portée de ses actes
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Articles à découvrir
C'est dans l'air du temps depuis quelques années, la culture de masse allait forcément en faire écho. voilà donc la série "indignation" de brian michael bendis. loin d'un récit basé sur les idées détestables des néo-hippies bobos, le scénariste aborde le sujet frontalement en projetant une ado lambda dans un maelström d'ultra-violence.
Arbres en pochette, oiseaux, une petite complainte acoustique païenne, le tableau est parfaitement dressé dès l’introduction de autumn aurora. bienvenue dans les forêts ukrainiennes, là où drudkh nous emmène pour relater les paysages et les ambiances qui les peuplent. une ode à l’automne, crépuscule où la nature perd son éclat et se
Brian wood ayant remis les compteurs à zéro lors du dernier épisode du tome 10, la série pouvait enfin reprendre sur de bonnes bases. au lieu de cela, le scénariste a décidé de dédier cinq épisodes au bombardement de la dmz par les etats-unis, chacun de ces épisodes suivant un personnage nouveau sauf le dernier qui reprend la trame de la
Pas grand-chose de neuf du côté du vétéran polonais graveland. thunderbolts of the gods s'inscrit à nouveau dans la droite lignée des albums 'vikings' du groupe entamée avec memory and destiny en 2002. on a droit à cinq nouvelles longues fresques épiques plus une outro. l'aspect passéiste et nostalgique des ambiances prend une densité su
Le groupe le plus haït de la terre. voilà comme se définit darkthrone après son éviction de peaceville suite à la polémique transilvanian hunger. le duo trouve alors refuge chez satyr et son label moonfog auquel panzerfaust est dédié. inutile de préciser que le groupe s’enfonce ici encore d’avantage dans les limbes d’un black metal
Si opus iv avait déjà fait évoluer la musique d’abigor vers des sphères symphoniques, supreme immortal art sublime l’exercice. une orgie de sons et de mélodies tous azimuts. car loin de verser dans la musique atmosphérique en abandonnant ses compositions complexes, le groupe propose toujours des morceaux de mille thèmes et des enchaînem
Oublions les inutiles dead weather et donnons une nouvelle chance à jack white qui n’a pas participé à un quelconque disque enthousiasmant depuis... disons icky thump pour être sympa. ni groupe de seconds couteaux, ni potiche derrière le micro, le voici cette fois seul maître à bord, posant avec un corbeau comme unique compagnie sur une po
L’écho lourd et inquiétant qui ouvre memoria vetusta i: fathers of the icy age met tout de suite dans l’ambiance. blut aus nord force le trait et gomme le peu de lumière qui émanait encore de ultima thulée. on entre ici dans un monde opaque où la nostalgie des temps anciens est reine. la production boueuse et étouffante se pose en portai
Ils ont beau cultiver une patine attrayante à coup d’imagerie série b, enfiler les clichés, piocher des riffs à droite à gauche et s’ériger un son dantesque, il faut l’avouer: beaucoup de groupes surfs contemporains s’avèrent chiants à mourir sur disque dès le troisième morceau atteint. car le folklore ne fait pas tout et en surf