Pas encore inscrit ? Creez un Overblog!

Créer mon blog
Camille Couturier

Camille Couturier

"Je suis ainsi et ne sais pas pourquoi.Je suis comme la chrysalide de la cigale, comme une mue de serpent.Semblable, mais différente.J'apparais à la lumière du feu et du jour.Je disparais dans l'obscurité et la nuit." Tchouang-Tseu, Le rêve du papillon

Ses blogs

vers la mer

Mes mains dans les nuages, à leur donner une vague forme de bateaux afin qu'ils glissent mieux, de radeaux prenant l'eau ou de tristes grenouilles que j'appelle Ophélie.
Camille Couturier Camille Couturier
Articles : 71
Depuis : 11/03/2014
Categorie : Mode, Art & Design

Articles à découvrir

.

.

Je parle tout le jour Avec les coquillages le corail blanc De la mort et je joue A me perdre dans les étangs Pleins d'iris jaunes de grenouilles Bulbeuses Qui me reconnaîtrait Dans cette vase où grouillent Tous mes rêves défaits Anne Perrier, Le livre d' Ophélie
...

...

renoncement ( une autre fois, la mer ) le secret
Petite peau de bête

Petite peau de bête

Loup y es tu ? Ne me touche pas. Je ne sais plus dessiner un rond. Descente, descente, petite descente. Je vais dans la rivière, est-ce que j'enlève mes chaussures ? Dis, est-ce que j'enlève mes chaussures ? Où es tu ? Où es tu ? Où es tu ? "Ainsi même un ange arrêté dans son destin par un mortel, se découvre soudain avec effroi l'âge d'
.

.

Tu cherchais une fleur et tu trouves un fruit. Tu cherchais une source et tu trouves la mer. Tu cherchais une femme et tu trouves une âme - tu es déçu. Edith Sodergran, Le pays qui n'est pas
border

border

plein - (la vertu des nuages) vide - (clarté) soir - (traverser la pomme)
border

border

latence - (les ombres douces) attente - (la vertu des énigmes) drame - (le vent dans les veines)
vers la mer

vers la mer

le blog se déplace sur http://camillecouturier.eklablog.com
.

.

Moi l'envolée J'ai perdu dans les airs la trace des oiseaux Moi l'écoulée En dormant j'ai perdu la voix des passeurs d'eau Je suis le chant qui s'en va tout seul Entre terre et ciel Anne Perrier, le livre d'Ophélie
.

.

Un escargot est mort. Beaucoup de rêves ne sont pas dénoués. Takajo Mitsuhashi Mes mains dans les nuages, à leur donner une vague forme de bateaux afin qu'ils glissent mieux, de radeaux prenant l'eau ou de tristes grenouilles que j'appelle Ophélie.