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PanaisAutonome7963175

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PanaisAutonome7963175 PanaisAutonome7963175
Articles : 150
Depuis : 25/09/2022
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Un soleil qui s'en va

Un soleil qui s'en va

Simon byrne © c’est comme un soleil qui s’en va cette amitié qui disparaît et cet amour que je n’ai pas nous noie dans son obscurité je vais m’éteindre sans un bruit et me dissoudre dans la nuit je vais me perdre dans l’oubli et puis renaitre sans un cri je vais partir comme cette étoile qui va mourir dans l’infini et qui vient é
La vieillesse des cailloux

La vieillesse des cailloux

Álvaro roxo © j’ai la vieillesse des cailloux que foule notre pas désinvolte débris poussiéreux et importuns tenaces à s’accrocher sous nos semelles combien de mémoires, le sait-on s’effritent ainsi à notre insu sur les routes infinies de nos vies où donc s’en vont nos souvenirs perdus ? quand la poussière des étoiles en pluie se
Une nuit d'été portugais

Une nuit d'été portugais

Viendras-tu si je t’emmène sauras-tu pour moi démanteler tes chaînes entreras-tu dans ma danse je t’affranchirai du poids de ton errance au-delà de l’ignorance il nous faudra bien clamer nos différences je serai là si tu me veux les mensonges du monde m’importent si peu viens, que je t’apprenne mon refuge secret il est à l’ombre
Une plume

Une plume

C’est un cri une plume saisie à l’orée d’un sanglot quand s’esquivent les mots une main qui cherche son chemin à tâtons dans le noir où sombre tout espoir c’est ta voix elle résonne en moi murmures affligés sur mon cœur fatigué viens… prends ma main réchauffe ta vie vois le chemin pour toi épanoui un frisson parcourt à l’u
Les vers superflus

Les vers superflus

J'ai crainte de te frôler de mes rimes incertaines chantant la même rengaine soigneusement ciselée quand les mots sont impuissants à saisir l'élan vital d'un amour subliminal le verbe est presque indécent j'ai crainte de te toucher de paroles inutiles qui blesseraient ton profil à trop vouloir l'ébaucher comment embellir encore la force des
Votre Fado

Votre fado

Comme les femmes de ma terre patientes mais déterminées quand l'eldorado étranger ou bien la mer emportent leurs frères elle pulse en moi cette inquiétude un cœur qui bat fort mais fatigué si fatigué vous sombres sœurs de mon pays portez l'amour comme un fardeau mais insoumis sont vos sanglots je comprends vos vies aujourd'hui dans mes vei
Tu m'ensorcelles

Tu m'ensorcelles

Maria amaral © je suis au bord de toi de cet amour sans convenances j’ai brûlé mon âme à la ferveur de ton instance nulle issue en cette voie pas de retour ni espérance quand le désir se damne à la faveur d’une imprudence à ton appel c’est du bout des lèvres que tu me prends sans complaisance ainsi que tu m’exposes je me condamne
Utopia

Utopia

Vincent van gogh-la nuit étoilée j'ai laissé la paresse des souffrances oisives délacer cet autre monde où je ne vis plus je peux sentir la tristesse que les ténèbres ravivent sourdre des humeurs vagabondes de mon cerveau ambigu et toi loin de nous que fais-tu tandis que le chagrin m'inonde dans le flou des ombres furtives que nos mémoires
Tu

Tu

Tu es. je flue et reflue au creux de ta vague sempiternelle convalescente, j'épouse la ouate de ton écume elle apaise les cris du monde emporte-moi loin dans le mouvement de ton amour souverain presque moi puisque tu y crois j'accuse la douleur d'un soupir sous le fardeau de la chair fatigue incommensurable qui s'aliène d'un improbable futur tu
Valse illusoire

Valse illusoire

C'est un goût d'étain mouillé qui submerge l'esprit à l'improviste puis éclate au palais tel un fruit trop mûr donne à toute chose un relent de fiel les douceurs d'autrefois soulèvent le cœur losange lilas prison moelleuse donne-moi ton bras pour une valse joyeuse puis gronde la rumeur sournoise elle implose emplit l'espace partout et le m