#jesuischarlie

Alors précise tout de suite qu'il ne faut pas prendre mon titre accrocheur au premier degré : je ne suis pas de celles qui ont une relation sentimentale et/ou charnelle avec leur directeur de thèse ! par contre, plus la thèse avance et plus sa chronophagie se fait sentir. non pas que je ne gère pas mon temps car j'arrive encore à ne pas avoir

Comme toutes les rentrées universitaires, 2014 fut bien chaotique. pour une fois, je n'ai eu aucun problème dans mon inscription en tant qu'étudiante, mais c'est en tant qu'enseignante que les choses furent apocalyptiques... d'abord, j'entre en troisième année. je m'étais donc motivée pour entamer la rédaction et j'avais pour objectif d'avo

Parce que même si l'on se sent souvent bien seul dans son travail de recherche, il ne faut pas oublier qu'il y a autour de nous pleins d'autres doctorants plongés dans un état à peu près similaire au nôtre. le doctorant, cet extra-terrestre auquel on ne prête pas forcément attention au premier coup d’œil et qui pourtant n'est pas un êtr

Lu dans un moment de déprime antithétique que seule une papillote pouvait quelque peu alléger (au dépend de ma propre masse) : "trouver n'est rien, c'est le plan qui est difficile." fiodor dostoïevski cqfd

Je termine cette petite série sur les autres doctorants par un article qui appuie sur l'importance de l'échange et qui va donc dans une dynamique inverse à celle du premier article à ce sujet. en effet, que ce soit entre doctorants du même labo, de la même école doctorale, de la même université ou tout simplement entre doctorants, quel que

Cher journal, je sais que j'enchaîne constamment les hauts et les bas, les moments de joies et de doutes, le bonheur de la recherche et les difficultés universitaires, etc. mais c'est peut-être tout simplement cela que la vie de thésarde. quoi qu'il en soit, cet article sera positif ! et oui, je suis en phase d'auto-satisfaction pour plusieurs

Bon voilà, l’angoisse de la rentrée s’ajoute à l’angoisse de la feuille blanche… si je me fais de moins en moins présente ici, c’est que je souffre du mal que connaissent un jour ou l’autre tous ceux qui sont amenés à écrire quelque chose : la peur du vide. il suffit de se lancer, parce qu’on est bien préparé, on a longuement

Même si en sciences humaines il est rare d'avoir un labo au sens stricte et physique du terme, nous appartenons quand même à un laboratoire de recherche, aussi immatériel soit-il. et c'est là, l'occasion de se faire des copines, ces collègues de galère avec qui l'on peut potiner sur les autres membres du labo, avec qui l'on s'échange les bo

Ce n’est pas tout d’avoir toutes sortes d’idées et une bonne quantité de matière. pour rédiger sa thèse, il faut s’organiser ! et c’est là que l’on se rend compte qu’écrire un article de 20-30 pages, ou préparer une conférence, c’est tellement plus facile que de pondre une thèse de 300-400 pages ou plus. car à ce moment l