Un film de louise courvoisier. dès les scènes inaugurales, nous voilà bien implantés dans la ruralité profonde, celle des terres jurassiennes. au moyen d’un traveling, la caméra suivant le dos d’un homme en marche portant un fût de bière parvient jusqu’à anthony (clément faveau), surnommé totone. nous sommes à une fête de village
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Le blog de Luc Schweitzer - Films, livres, musiques, etc.
où il est question de films, de livres, de musiques, etc. par un religieux de la Congrégation des Sacrés-Coeurs (Picpucien).
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Films, TV & Vidéos
Articles à découvrir
Un film de koya kamura. adapté du roman éponyme d’élisa shua dusapin, ce film met en scène, avec grâce et poésie, la rencontre, dans une ville portuaire de corée du sud, de deux personnes esseulées : d’une part soo-ha (bella kim), une jeune métisse franco-coréenne qui, quoiqu’ayant un petit ami mais auquel elle ne semble pas être t
Un film de victor rodenbach. premier long-métrage de victor rodenbach, ce film s’immerge dans un milieu que ce réalisateur connaît bien, celui de la mise en scène, de théâtre d’un côté, de cinéma de l’autre. lui-même est scénariste depuis de nombreuses années tandis que sa compagne, pauline bayle, est metteuse en scène de théât
Juillet : henri bosco : antonin daniel halévy : péguy ellis peters : l’ermite de la forêt d’eyton john cowper powys : la fosse aux chiens ruth rendell : son âme au diable jean tauler : sermons août : e. m. forster : avec vue sur l’arno graham greene : voyages avec ma tante thomas hardy : remèdes désespérés mary higgins clark : la nui
Un film de guillaume nicloux. contrairement à ce qu’affirme un critique (celui de libération, pour ne pas le nommer), ce film de guillaume nicloux, fort heureusement, échappe à tout académisme. même s’il n’a pas renouvelé fondamentalement le genre, le réalisateur s’est gardé de réaliser un biopic en bonne et due forme de sarah ber
Un film de andrea arnold. dès les premières scènes, entre, d’un côté, l’obsession d’une adolescente de 12 ans à filmer, avec son téléphone, le vol des oiseaux ainsi qu’à s’approcher de l’un d’eux qui s’est posé près d’elle et, de l’autre, la survenue du père de l’adolescente, le torse nu couvert de tatouages, le co
Les graines du figuier sauvage, de mohammad rasoulof la plus précieuse des marchandises, de michel hazanavicius l’histoire de souleymane, de boris lojkine may december, de todd haynes flow, le chat qui n’avait plus peur de l’eau, de gints zibaladis los delincuentes, de rodrigo moreno les carnets de siegfried, de terence davies le mal n’exi
Janvier : jacques le goff : la naissance du purgatoire claude mauriac : et comme l’espérance est violente john cowper powys : givre et sang ruth rendell : l’analphabète février : graham greene : le capitaine et l’ennemi patricia highsmith : le cri du hibou carson mccullers : reflets dans un œil d’or walker percy : le cinéphile william
Un film de diastème. pour ce qui concerne la composition de musiques de films et, mieux encore, de chansons écrites pour films musicaux, le talent d’alex beaupain n’est plus à démontrer. on avait pu en juger notamment lors de ses collaborations avec christophe honoré, en particulier dans les chansons d’amour en 2007 puis dans les bien-ai
Un film de pedro almodóvar. on ne peut pas ne pas être impressionné, à la vue de ce film, non seulement par l’emploi (pour la première fois dans un long-métrage d’almodóvar) de la langue anglaise mais surtout par la multiplicité et la vitalité des couleurs. on sait bien que le réalisateur espagnol aime parer ses films de couleurs vive