Maman, les draps sont bien rangés, et le linge est bien plié Tu peux te relever, maman tu peux te réveiller… Rentre à la maison, le ménage n’est plus a faire, Tu pourras te reposer, ou c’qu’il te plaira de faire… Maman reviens nous, le travail on s’en fout, Même si on est à bout, tant que tu tiens debout. Maman, j’ai appris à

Puisque tout est éphémère... Pourquoi regardons-nous toujours hier Alors que maintenant passe et demain coûte cher?! Puisque rien ne dure longtemps... Pourquoi ne pas user du peu de temps Que nous avons à vivre à bon escient?! Puisque rien ne vaut une heure... Pourquoi attendre que le temps file et meurt Tout en refusant de s'aimer, par peur?

Même si la solitude te ronge et étouffe la flamme en toi, passe l'éponge et toujours rappel toi, que le feu née d'une étincelle, et bien que cela paraisse irréel, même le souffle le plus mélancolique eut raviver une braise assoupie.

A quoi bon faire tout ca si tu te fous de tous ?! A quoi bon croire en toi si tu crois pas en nous ?! Aujourd'hui j'suis en pétard contre toi Aujourd'hui j'en ai marre de tout ça ! On m'dit regarde autour de toi, Est ce que t'aimerais vivre la bas ? Alors s'il te plais n'te plain pas ! Mais chaque jour j'touche le bonheur du doigt, Sans jamais l'

-Je tourne en rond, je me pose des questions, Sur la prochaine fois, quand on se reverra, Je me demande toi, comment tu t’sentiras Et jusqu’où ce poison te donnera raison. Doucement il te ronge, traversant tes tissus, Comme dans une éponge, l’eau s’y serait perdue, -Mais jusqu’à ton cœur, le chemin est plus dur, Car il y a comme un mu

Tu t’rends compte de c'qui s'passe en bas ? Tu t'rends compte qu'ici on crève de froid ?! Y a pas d'amour y a que la guerre, Celle de la vie contre la mort, Celle de la vie contre tes tords ! Qui sait, Peut être que t'es mort ? Ici on ne voit pas d'effort, Quel père abandonnerait ses enfants, Comme toi tu le fais si souvent !?

Pourquoi suis-je triste en te voyant avec lui? Au fond, ton bonheur devrait me suffire? Quand je perd simplement une amie, Tu perds quelqu'un qui t'aimerais pour la vie! Tu ne te rend pas compte de c'que j'ai subis, Les humiliations porté à mon effigie, Les duels face à cet amour incompris, Et tout le temps que j'ai laissé partir... Toutes ces

Je me demande souvent, ce qu'il se passe là haut, derrière les nuages blancs, si dieu tien bien le flambeau, car quand le tonnerre gronde, et le ciel s'assombrit, même la lumière blonde, qui venait des cieux fuis, A travers tes cheveux gris je me rend compte, que le temps ne t'a pas oublié. Malgré tout ce que t'as fait, Malgré tout ce que t'