C.W. (le premier qui s'exclame "quel nom de chiotte !" prend la porte) Stoneking se produisait hier à la Maroquinerie, devant une salle comble à l'occasion du festival Les nuits de l'alligator, où je posais les pieds pour la première fois. Deux autres groupes (les Puta Madre Brothers et Timber Timbre) se partageaient l'affiche, dans un ordre de

Voici donc un pays atomisé à deux reprises il y a soixante ans (- Nagasa qui ?) et qui, malgré les souffrances et la désapprobation de sa digne population, a laissé pousser sur son triste sol une cinquantaine de champignons nucléaires potentiels. Sol d'ailleurs célèbre de part le vaste monde pour sa très haute sismicité... Il y a des jour

Un seul disque vous manque, et tout est dépeuplé. Heureusement, grâce à la Mono box récemment acquise (comment, vous n'êtes pas au courant ?) je me trouve enfin en possession du vinyle qui faisait tant défaut à ma collection : j'ai nommé Blonde on blonde. Blonde on blonde (le titre étant joli, on peut le répéter autant de fois que l'on

"Toute la joie silencieuse de Sisyphe est là. Son destin lui appartient. Son rocher est sa chose. De même, l'homme absurde, quand il contemple son tourment, fait taire toutes les idoles. Dans l'univers soudain rendu à son silence, les mille petites voix émerveillées de la terre s'élèvent. Appels inconscients et secrets, invitations de tous l

"Dans sa figure de valeur, la marchandise perd toute trace de sa valeur d'usage naturelle et du travail utile particulier auquel elle doit son origine, pour se transformer, telle la larve en cocon, en matérialisation sociale uniforme du travail humain non différencié. C'est pourquoi, à voir la monnaie, on ne distingue pas le type de marchandise

Je te dédie ces mots hâtifs mon vieux Le petit gars qui s'est foutu en l'air un jour de mars Et dont le sang, les cheveux sont restés collés sur mes mains. La tête baissée sur mes papiers, Je n'ai vu que ton ombre, Dans un coin de mon champ de vision. J'ai entendu ton cri. Le pire, c'est que tu t'es loupé. Quand tu as essayé de te relever,

Pendant un mois et demi, je n'ai vécu que pour eux. Quarante-cinq jours de réclusion, de procédures harassantes, de tempêtes sous un crâne et de prises de tête exténuantes. Le fougueux Don Quichotte et ses moulins à vent n'étaient pas loin. Des histoires sordides ont couru à mon compte : ma famille me croyait mort, mes amis écumaient les

"The end of time has just begun." Un quart d'heure, c'est peu ou prou le temps que met un somnifère à vous endormir. C'est aussi la durée de Highlands (16min30) qui clôt le bien-nommé Time out of mind. Pendant que la pilule miracle produit lentement son effet, la plaine de notes rousseâtres s'étend à perte de vue alentour, baignée d'un cr

Pour divers et variés motifs qui ne seront pas détaillés ici, ce "blog" s'arrête. En gros, il est bon de savoir passer à autre chose. Mon lectorat shelterien apprendra par la même occasion que ma participation au forum est également compromise. J'en profite donc pour remercier mes quelques lecteurs et intervenants réguliers et me souhaiter

"Casanier dans la saison des rhumes, son cou de girafe rentré, l'escargot bout comme un nez plein. Il se promène dès les beaux jours, mais il ne sait marcher que sur la langue." (Jules Renard, Histoires naturelles.)