Bienvenue à toi, femme, homme, en ballade dans ce petit jardin éphémère

Just a joke, pas possible, pas encore toutes ces rides, ce rictus mélancolique, NON ! Le soleil est là, il ne s'échappera pas, il s'échappe par la diagonale de May Le téléphone est coupé, la ville est froide et figée dans le brouillard Et puis ce regard affolé qui me questionne Ce trou béant pour un seul homme J^

Paulie-Anne dit à Chester : - " Chester, tu dois maintenant te rendre à ton travail ", - " Oui, Paulie-Anne, je vais me préparer et m'y rendre ", répond Chester dans un souffle amer. - " Chester-Bruno ! tu dois abandonner tes rêves et aller chercher l'argent et tu trouveras l'argent par le travail ! " enchaine Paulie-Anne sans laisser à Chest

Jeudi 2 juillet 2009, le réveil est difficile. Pas le temps de penser, pas l'envie de porter le regard au delà de la ligne de tension. Esquive extérieure sur la gauche, bloquage intérieur, un pas de retrait de la jambe avant puis de la jambe arrière, retour en garde, station souple et mobile. La couleur du jour : gris clair. Jérôme Defrain

...Elle fait la belle au mois de décembre, Il envisage de lustrer sa calandre... Ils dorment ensemble mais d'un seul oeil ils prennent le doute, rejettent les preuves ils vont marcher dans le désert et s'assoir au bord du cratère...

Il est maintenant 16h10, la dernière boule se rapproche du cochonet avec une précision mathématique. La trace qu'elle laisse sur la fine couche de sable de mer donne à penser à May, qu'elle vient de réussir le coup magique.