Apres avoir apprécié le Myanmar authentique, on a été un poil déçus par le Myanmar touristique. C’est pas notre faute, on avait été habitués à rencontrer des gens désintéressés… Et on aimait surtout le Myanmar pour ses habitants. Alors que l’accueil est bien différent quand on a l’habitude de voir défiler des hordes de touris

Les sourires édentés et rougis par la noix de bétel, les sourires blancs réguliers, les visages bruns maquillés de thanaka, les yeux des Birmans, Chans, Palaungs ou Pa-o brillent. Ici, c’est le dur labeur de tous sous le soleil, dans la chaleur et sous un voile permanent de poussière dans les airs. C’est le dur labeur d’un pays pauvre e

Incredible India ! Un mois en Inde tout juste. Et très peu d’articles postés. Ho ! les flémards ! Il faut nous comprendre, l’Inde c’est dur. Parce que l’Inde, ça fatigue, c’est bruyant, ça bouscule, ça pousse, ça remue, il fait chaud, on sue du dos des mains, souvent ça pu vraiment pour de vrai, et puis on marche sur des gravats,

Suite C’est d’ailleurs amusant de constater que dans leur temple, les hindous peuvent parler fort, rire, prendre des photos de famille, toucher les statues et les sculptures et les enfants peuvent courir et crier. Nous avons d û répondre aux éternelles mêmes questions « de quel pays tu viens ? », « Quel est ton nom ? » et avons dû pose

Alors le train ! Nous en étions restés là. Gare de Chennai Une gare bondée, une chaleur étouffante, un vieux fou sympathique qui nous offre du raisin avant d’hurler en roulant des yeux comme un dément sur les passants et de se faire jeter par un flic, une mendiante qui nous suit en soliloquant pendant bien une demi heure après avoir reçu

Nous nous reposons quelques jours à Varkala avant d’entamer notre visite des lieux saints hindous, Kanyakumari à la pointe sud de l’Inde, le temple de Sri Meenakshi Amman à Madurai, et enfin le temple de Ramanathaswami à Rameswaram. Varkala est une station balnéaire située sur une falaise rouge. Nous nous y sentons bien. Il y fait bon gr

Mais que font-ils ? Il paraît que certains occidentaux se perdent en Inde suite au choc culturel. Non, nous ne mangeons pas de ce pain-là ! Après avoir craqué pour un hôtel avec piscine et clim à Mamallapuram. Après nos derniers jours indiens à Puduchery, ancien comptoir français. Après avoir savouré le calme de Bangkok. Moi, je regarde

Ecoutez-la critiquer ! Mois aussi, je peux faire des articles sur des tortues et des raies Manta. C’est toujours moi qui les voie en premier en plus ! Mais, non ! Aline s’empresse sur la facilité en oubliant ce qui l’arrange. (Elle vous a parlé des temples d’Angkor, au Cambodge, surcharges de monde ? Même pas ! Allez, hop, une photo de m

Le cœur et nos pens é es ailleurs, quelque part pr è s des gens que nous avons aim é s, les intestins en vrac, nous nous dirigeons vers l’a é roport de Yangon dans un taxi d é membr é de tout superflu. Il y avait un moteur, des roues, des sièges et un volant, nous étions aux anges, que demander de plus ? Retour à Bangkok. A l’ a é ro

Autant vous le dire tout de suite pour calmer les jaloux éventuels : Nous CREVONS de chaud. Aujourd’hui 37 degrés !!! Nos organismes tournent au ralenti. Fatigue, vertiges, mouvements économes. Le pire reste à venir, puisque nous a-t-on dit, ”en mai, c’est le FEU”. Première escale proche de Chennai, Mamallapuram est un village de pêch