Ô j'entend depuis longtemps ce sublime chant ; Qui s'étend à travers les bois et les champs ; Nous sommes bien peu encore à l'écouter ; Encore moins quand ils dans leur tour enfermés ; J'écris ces mots qui me traversent le coeur ; Car le monde ne connaît pas sa douleur ; Cette mère qui à su nous donner pourtant la vie ; Et qui maintenant
Terenemar
Terenemar
Un homme d'une autre époque. Si j'aurais due choisir mon époque su été celle de l'amour courtois et de l'honneur au combat.
Ses blogs
Articles :
47
Depuis :
02/09/2007
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
A toi qui travaille chaque jours si durement ; Que ta santé, de tant de fatigue s'en ressent ; Que le temps pour décompresser sois si court ; Mais pourtant ton regard garde tout son velours ; A toi que j'apprécie, t'aider j'aimerais tellement ; Pour porter ta charge, t'apporter encouragement ; Te tenir chaud, délasser ta peau, tes contours ; Je
Il est des gens que l'ont pourraient dire étranges ; Dites moi, est-ce donc parce qu'ils dérangent ? Pourtant ils ne sont point mauvais et sont rares ; Ces gens hors des clous, les hommes-renard ; Ils sont très tendre et doux, gentil et sociables ; Souvent ainsi qualifié de personnes adorables ; Mais parfois sauvages, espiègles et taquin ; Cer
Alors que ce dresse encore le firmament ; Une après l'autre disparaisse à présent ; Rougeoie maintenant le ciel par endroit ; O quel doux temps, ce matin que voila ; Rien ne peux l'empêcher d'arriver ma foi ; Et au petit jour, à nouveau on l'aperçois ;
Cela sonne comme une période lointaine ; Une certaine ère ou l'on buvait au fontaine ; Ou respect pour la nature oeuvrait encore ; Et l'ont savais pourquoi nous vivions alors ; Certaines personnes appelait les esprits ; Enchantaient les gens et parfois la vie ; Points de malheur à qui sait leur plaire ; Car nous avons tous besoin d'une sorcière
J'aimerais avoir un peu de tendresse ; Mais je n'ais nulle réponse, tristesse ; Je fais mon possible pour être à l'écoute ; Mais en retour je n'est que desert sur ma route ;
S'en allez par les chemins long et escarpé ; Entendre les cris, les piaillements des oiseaux ; Se sentir juste animal au doux son clamé ; Et dans ses méandres parfumé, si beau ; Les feuilles qui bruissent sous le vent ; Le soleil laissant mon ombre sur ce sol ; Mes pieds en contact me rappel d'ou je viens ; En ces lieux je ne suis qu'une âme q
Il est des temps comme celui à présent ; Ou matin et soir vont se dire au revoir ; En cette dualité parfaite dès maintenant ; La nuit fait place au jour, elle lui dit bonsoir ; Grand nettoyage, jardin, ornement ; Nous allons fêter en ce jour Ostara ; Vous allez vous occupez à présent ; Avec le jour de ce bon sens que voila.
Je ne suis qu'un modeste poète ; A l'armure qui s'effritent en miettes ; Laisse entrevoir le coeur de l'être ; Sa faiblesse viens ici d'apparaître ; Les protections une à une tombent ; Le corps, le regarde y succombent ; Les blessures lassèrent sa chair ; Et le sang se déverse sur cette terre ; Je ne suis qu'un modeste poète ; Que rien de to
Vous êtes vous déjà fait enveloppé ; Par une bien sombre couverture ; Que la nuit à sur la plaine déposé ; Un noir unie, présent partout, si pur ; Je ne parle pas de peur ou mélancolie ; De tristesse, d'insomnie ou de peur ; Juste être dehors dans ce noir, ébloui ; Qui me ravie et apaise mon coeur.