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Parmentier Monique
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Parmentier Monique
J'ai été bénévole pour des sites de musique classique : ODB Opéra, Classique News, Anaclase, Resmusica, Muse baroque et Utmisol
Ses blogs
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Le blog de Susanna Huygens
J'aime la musique ancienne mais pas seulement... Le Jazz ou le rock également, tout comme la chanson à texte. J'aime la beauté, tout ce qui peut ré-enchanter le monde qui nous entourent et cela passe aussi bien par les œuvres d'art, la musique, mais également les paysages, la nature, la cuisine... et bien d'autres choses. Comme Puck à la fin du Songe d'une Nuit d'été je vous demande votre indulgence et vos remarques car "Ombres que nous sommes, si nous avons déplu, figurez-vous seulement (et tout sera réparé), que vous n'avez fait qu'un somme, ... Une dernière chose, j'aime "mon" sud par dessus tout.
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Musique & Divertissements
Articles à découvrir
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@ monique parmentier - carte de voeux début du xxe siècle je vous évoquais il y a peu, dans mon article intitulé "away! away! for i will fly to thee", le souvenir qu'il me restait d'un étang que je pouvais apercevoir au loin, lorsque je m'installais sur le mur du verger de la propriété pour laquelle mon grand-père et mon père étaient jard
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@ florence harrison - photo m. parmentier had i the heavens' embroidered cloths, enwrought with golden and silver light, the blue and the dim and the dark cloths of night and light and the half-light, i would spread the cloths under your feet: but i, being poor, have only my dreams; i have spread my dreams under your feet; tread softly because you
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Chromos @ m parmentier a faery song - william butler yeats (1865-1939) sung by the people of faery over diarmuid and grania, in their bridal sleep under a cromlech. we who are old, old and gay, o so old! thousands of years, thousands of years, if all were told: nous qui sommes vieilles, vieilles et gaies, o si vieilles ! mille et mille années si t
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Happy prince - ch robinson - ph m parmentier je n’entends que le bruit de la rive et de l’eau, le chagrin résigné d’une source qui pleure ou d’un rocher qui verse une larme par heure, et le vague frisson des feuilles de bouleau. je ne sens pas le fleuve entraîner le bateau, mais c’est le bord fleuri qui passe, et je demeure. et dans le
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@dr h. king paysage d’automne est-ce l'âge, le temps qui passe ? la poésie me devient chaque jour plus essentielle. j’ai été émue aux larmes, lorsqu’une dame anglaise dont je suis le compte sur instagram (visions of poesy) a cité le poème de christina rossetti, an october garden . ce dernier m’a rappelé, un poème de stéphane malla
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@karen livingstone parmi toutes les femmes qui ont enchanté l'art preraphaelique... toutes si talentueuses, aux personnalités extraordinaires et qui nous ont laissé une vision du monde si belle et empathique, connaissiez vous, jessie bayes (1876-1970) que j'ai découvert cet après midi en poursuivant ma lecture du livre consacré aux artistes f
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Nay, are there not moods which shall find no expression unless there be men who dare to mix heaven, hell, purgatory, and faeryland together, or even to set the heads of beasts to the bodies of men, or to thrust the souls of men into the heart of rocks? let us go forth, the tellers of tales, and seize whatever prey the heart long for, and have no fe
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@ monique parmentier la croisée est ouverte ; il pleut comme minutieusement, a petit bruit et peu à peu, sur le jardin frais et dormant, feuille à feuille, la pluie éveille l’arbre poudreux qu’elle verdit ; au mur, on dirait que la treille s’étire d’un geste engourdi. l’herbe frémit, le gravier tiède crépite et l’on croirait là
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Coucher de lune 17 09 24 @ m parmentier une main fermée sur le vent. les cinq doigts plissant la lumière - elle tient la pièce d’or ardente qui l’éclaire. on cherche le destin au sens de la raison. le reste est mieux caché aux coins de la maison et dans les replis de la tête, de la bouche qui souriait derrière les barreaux qui gardent la
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Qu’il est doux d’écouter des histoires, des histoires du temps passé,
Umberto brunelleschi - contes du temps jadis @ mp qu’il est doux, qu’il est doux d’écouter des histoires, des histoires du temps passé, quand les branches d’arbres sont noires, quand la neige est épaisse et charge un sol glacé ! quand seul dans un ciel pâle un peuplier s’élance, quand sous le manteau blanc qui vient de le cacher l