Le peintre officiel albert besnard, tombé dans l’oubli après sa mort en 1934, était apprécié de paul poujaud qui allait voir ses expositions dans la galerie petit. la notice du dictionnaire carriat mentionne le peintre. poujaud n’en parle pas dans ses lettres à dukas. mais il en appréciait la diversité, au-delà de l’image conventionn
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[le 1er octobre 2018, j'ai repris dans un texte ce que je savais de paul poujaud. ce texte a d'abord été écrit pour moi, afin de m'aider à y voir plus clair chez ce mystérieux personnage, si important pour la musique en france au tournant du 19e siècle. il a été montré à quelques personnes. j'ai pensé qu'il pouvait être utile dans ce bl
Pour sa mélodie s'il est un charmant gazon, césar franck choisit en 1857, la nouvelle chanson sur un vieil air des chants du crépuscule (1835) de victor hugo, poème paru, donc, 22 ans plus tôt. un vieil air peut-être, mais un nouvel amour, celui de juliette drouet. victor hugo a écrit ce poème, un an après le 1er anniversaire de sa nuit d'
Régulièrement, après un concert de l'orchestre lamoureux ou pasdeloup, on pouvait lire (à partir d'octobre 1889) dans les journaux de la belle époque (art et critique et surtout l'écho de paris) un article de "l'ouvreuse du cirque d'été". cette "ouvreuse" était un personnage entièrement fictif. les articles étaient de willy, de son vrai
La mélodie de charles bordes intitulée pleine mer est très courte. écoutez-la (1'27), dans l'interprétation d'éric huchet en 2013 (cd timpani ; sur internet, en cherchant, on en trouve des fragments). elle est écrite sur six vers de victor hugo. les voici : la mer ! partout la mer ! des flots, des flots encor. l'oiseau fatigue en vain son in
Nous dirons d'abord quelques mots du poème de sully-prudhomme. c'est dans son premier recueil, stances et poèmes (1865), que paraît ce texte. en voici les cinq strophes : le vase où meurt cette verveine d'un coup d'éventail fut fêlé ; le coup dut l'effleurer à peine : aucun bruit ne l'a révélé. mais la légère meurtrissure, mordant le c
[voici la notice sur paul poujaud dans le carriat. elle apparaît p. 421 du dictionnaire bio-bibliographique des auteurs du pays creusois et des écrits le concernant des origines à nos jours (6e fascicule) par amédée carriat, publié par les soins de la société des sciences naturelles et archéologiques de la creuse à guéret, par l'imprimer
Nous avons évoqué dans ce blog le travail de paul poujaud, en octobre 1887, à l'écoute d'un laboureur creusois, près de glénic. (cf le billet creuse). il avait envoyé ses notes à césar franck qui en a fait le chant de la creuse, œuvre pour orgue parue dans l'organiste, pièces posthumes pour harmonium ou orgue à pédale pour l'office ord
Dans son évocation de paul poujaud, andré jorrand cite une lettre de paul valéry du 12 août 1930, où il emploie, s’adressant à lui, l’expression « cher singulier » . jorrand ajoute la seule note de son essai, écrivant, « le mot est significatif ». valéry perçoit bien la personnalité de paul poujaud, qu’il connaît bien (voir sur
D'autres villages tourangeaux ont leur gloire musicale, comme noizay avec francis poulenc. vouvray, c'est charles bordes. il est né dans la commune en 1863, il y est enterré dans "le cimetière dans les vignes". il est injustement méconnu. sa tombe, recherchée par les admirateurs, vient d'être l'objet d'une restauration entreprise par la commu