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Claire de l'Une (Françoise Jeurissen)

Claire de l'Une (Françoise Jeurissen)

Passionnée de nature et de plantes sauvages, de mots tout chauds et tout vivants, j'aime la solitude autant que la chaleur humaine, et j'adore parler avec les arbres.

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Le temps des Avelines

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Claire de l'Une  (Françoise Jeurissen) Claire de l'Une (Françoise Jeurissen)
Articles : 127
Depuis : 15/01/2009
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Danser

Danser

Biodanza... découverte d'un langage corporel... danser habiter le présent tout en effervescence absorber l'énergie qui sourd de chaque son danser occuper en riant l'espace concentrique imaginer la vie en gestes indomptés danser danser son âme folle danser sa volupté sa joie, son insolence ou sa mélancolie danser ce désir impudique qui ne pe
Instance d'être

Instance d'être

J'ai laissé sur la route mon exosquelette armure périmée, vieille bannière en loques perclue et inutile silence en do mineur aux sillons renourris de mes béances Souriant et joyeux les coquelicots recouvrent les charognes que la vermine a fui instance d'être et d'exister en chair ! par les pouvoirs de vivre qui me sont conférés je me décla
Souveraine

Souveraine

Et ta fierté, rebelle, où s'est-elle endormie ? Dans quelle impasse tiède bat le voeu d'absolu de ton âme insatiable ? Méprise les aumônes ! Lève ton regard clair Cueille ta dignité au creux d'un nouveau souffle Et vole Vole majestueuse Généreuse, indomptable Vers ce que tu mérites, et non ce qu'on t'octroie Ennemie de toi-même Cesse de
Au feu de nos désirs

Au feu de nos désirs

Pour un certain petit renard qui a embrasé mon corps et emmitouflé mon coeur dans sa fourrure... brasier fol-être de nos envies à vif nuances inexplorées de ces flammes qui dansent leur mélopée sacrée suppliques au profond de nos gestes vivant de leur morsure tout barbouillés d'essentielle impudeur île-en-joie dénudée où gémissent les
Les aubes à venir

Les aubes à venir

entortillés aux branches d'un soleil matinal des chiffons de sommeil baillent encore en silence en secouant leurs bouts de nuit au pied du jour qui danse j'ai entre mes paupières le feu d'un autre monde et l'or immatériel d'un voyageur du temps du bout des rêves j'offre à la fraîche aurore la moisson de mes songes avant que ne s'effrite le pa
Libre, je me rejoins

Libre, je me rejoins

comme un écho rétif égaré au dédale confus de ma mélancolie les mots si mal pesés et les gestes meurtris glissent comme des fantômes au jusant délavé de notre irrévocable voyageurs insoucieux du temps et de l'espace co-errants fatigués nous avons divagué dans un rêve trop fluide pureté généreuse d'une oraison limpide mais d'ancrage
A la faille insondable il faut que tu consentes

A la faille insondable il faut que tu consentes

À la faille insondable il faut que tu consentes À ce vide glacé, à cette déchirure À ce rien sans limite, à ce silence obscur Habité d'éternel Au-delà du néant de ce plein désespoir chargé d'ombres changeantes s'offre l'immensité de la joie qui appelle F. Jeurissen Septembre 2018
L'abrupt des chagrins

L'abrupt des chagrins

escalader l'abrupt des chagrins le tranchant des douleurs jusqu'aux cimes de soi jusqu'au toucher des horizons multidimensionnels reprendre le fil du temps celui d'avant les ombres où l'oublieux sommeil de nos âmes trop jeunes souillées de barbarie nous avait inhumé et de là, épouser les parfums de notre monde en fleurs F. Jeurissen juillet 2
L'intime de nos plaies

L'intime de nos plaies

Elle n'a de cesse de se grandir celle qui danse et chante sa fragilité sans s'armer ou se perdre sans détourner le coeur pour ignorer sa faille l'abysse de ses peurs le cri de sa blessure... il n'est d'or plus précieux que celui qui habille l'intime de nos plaies Claire de l'Une F. Jeurissen octobre 2018
Effilochée de toi

Effilochée de toi

contrepoint de silences aux fragiles suspens où peine l'essentiel émergence de bleus et de gris synonymes ankylosés d'hier ton souffle se fait pauvre presque comme un expir une absence univoque ballante frigide barbouillée de ton vide et de ta vérité recluse ta danse t'absorbe et te dénude seul tendresse diaphane à l'idée de ton gouffre qu