C'est à la douceur du levant perdues dans le moutonnement du ciel que nos âmes errantes se grisent de souffles de vie de murmures d'amour et de paix retrouvée
Un doux frisson s'invite sur l'eau pâle le jour vient d'appeler le soir il n'y a plus ni bien ni mal juste des instants nus a peindre ou à rêver a partager dans le silence
Entre deux souffles de lumière un fragile espoir de paix tout juste né au crépuscule enrobe de joie nos épaules lui, si petit nous, si tendus vers l'impos sible en attente d'amour
Un frisson sur le sable une faim de nuages l'été tout doux s'efface lentement caressant chaque jour le bleu de mer du ciel des rendez-vous heureux loin du chant des marées la terre a pris des rides silence après silence elle attend c'est comme un souffle interrompu une souffrance une respiration suspendue au dur peuple des pierres merci mona
De rose et d'ombre sourire et rêverie pour cheminer sur un fil de bonheur plus loin sera la mer au tempo argentin sublimant le présent un ciel pour un instant perdu le rêve sous le regard d'eau pâle du peintre magicien
J'ai refermé la lourde porte de l'année celle qui fût détresse toute drapée de noir. l'année de la tristesse des deuils, de l'abandon. petit glaçon fragile balloté par les vents que sera ton demain? verras-tu le soleil nimber de sa lumière les matins incertains où souffle trop souvent dame mélancolie? les couleurs de l'espoir diluées su
La nuit n'est jamais complète il y a toujours puisque je le dis puisque je l'affirme au bout du chagrin une fenêtre ouverte une fenêtre éclairée il y a toujours un rêve qui veille désir à combler faim à satisfaire un coeur généreux une main tendue une main ouverte des yeux attentifs une vie la vie à se partager. paul eluard derniers po