A l'ouest la forêt tend la joue au vent qui la caresse rien ne bouge sinon l'infime tremblement d'un loriot dans les branches et moi plus vagabond que pèlerin bien que sachant que ma tracée ne s'imprimera pas je glisse entre les fûts vers l'ouest où les menhirs s'érodent plus vite que la pluie plourarc'h 24 avril 2017
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