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Gabonia

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Ecrire c'est s'exiler... Linda Lê

Blog d'écriture.
Gabonia Gabonia
Articles : 136
Depuis : 23/09/2009
Categorie : Lifestyle

Articles à découvrir

Sucré-Sâlé.

Sucré-Sâlé.

Des battements de coeur. Ca résonne. J'ai peur. Tout autour de moi est noir, sombre. De tous les côtés, des morts s'agrippent à moi, et me prennent dans leurs bras. Je m'enfuis. Je cours. Je vole. Je fuis. Les battements de coeur. Autour de moi, dans le noir, une masse inconnue se mouve en silence. Est-ce quelqu'un, est-ce un animal ? Est-ce un

Ah...

Je veux me tenir devant toi, courir, et venir me blottir, avec ce besoin violent de te sentir tout près de moi, dans ces bras qui sont les tiens, pour enfin pleurer. Je veux pleurer toutes les larmes de mon corps, effondrée contre toi, pleurer jusqu'à être vide. Vide de tout, vide de moi, vide. Je veux sentir tes mains dans mes cheveux quand tu
Le Tueur A La Cravate, Marie-Aude MURAIL

Le Tueur A La Cravate, Marie-Aude MURAIL

Pour moi qui n'aime d'aucune façon les romans policier, ce fut une véritable surprise que de me retrouver accrochée à ce livre, jusqu'à même le lire en une seule petite journée... Le Tueur A La Cravate commence par une photo de classe sur laquelle la petite Ruth découvre sa mère, Marie-Eve, décédée quatre ans plus tôt d'une rupture d'a

La Légèreté.

Si vous pouviez voir mon sourire, ou seulement l'apercevoir... Vous pourriez voir, et comprendre où vous avez tort. Bien sûr, je n'ai pas tellement souffert dans ma vie. Juste une fois. Une toute petite fois. Vous pourriez vous rendre compte que ce sourire que vous apercevez n'est, en réalité, qu'une cicatrice. Une misérable cicatrice d'un amo

Lettre à Noémie.

Noémie, Tu te rappelles de ces moments, ces tout petitis instants, que nous avons passés à papoter, dans le temps ? Tu te rappelles de mes sourires tordus de bonheur, de ces yeux qui ne mentaient pas ? Des microsecondes, des infimes miettes d'un gateau que nous n'avons jamais dévoré, des pétales de fleurs que nous n'avons pas osé décrocher,

Dans ma cabane...

Tous les jours, je m'en vais, Loin d'ici, loin de l'été, Passant mon temps à avoir l'air, Passant mon temps, roulant par terre... Mais suis-je vraiment la seule ? Sur mon chemin, une immense salle, Remplie de souvenirs, et de morales, Peut-être ne devrais-je pas y pénétrer, Mais je suis trop curieuse pour m'arrêter... Suis-je vraiment la seu
Les Oublis.

Les Oublis.

Comment faut-il s'exprimer, ici, Pour faire comprendre de quoi il s'agit ? Pour faire comprendre ce que tu ressens quand tu vois L'ami qui passe à côté de toi, Sans même t'accorder son regard ? Est-il si normal de passer des années à aimer quelqu'un, Pour qu'il décide un beau matin Que plus rien n'a d'importance, et, Qu'il envoie valser ces

Brûlures et Battements.

On en finira jamais de rêver. J'ai plongé ma tête sous l'eau brûlante, de manière à ce que je puisse encore respirer. J'avais mis de la musique dans la salle de bains, la musique que j'aime. Même sous l'eau, j'entendais cette musique. J'ai toujours aimé la musique, car elle donne des ailes, de la légèreté. L'eau avait beau m'entourer, bo

Je suis le monstre.

Assise parmi les autres, je ne ressentais rien d'autre que de la peine, mêlée à une rage incurable. Les autres, eux, souriants et hypocrites, seuls maîtres de leurs univers, n'étaient rien, à mes yeux, qu'une source inépuisable de fatigue et de colère. Alors, assise parmi eux, je peinais à trouver un siège à ma convenance, je regardais a

T'es pas là

Le noir de mon salon me paraît vastement noir C'est obscur clair et immense C'est vide aussi je n'arrive pas à le croire Tout se contredit toujours mon univers entre en transe En transe Oui parce que j'ai peur sans toi Là maintenant oui tu me manques Parce que j'ai toujours peur oui pour toi Et parce que j'ai besoin de toi oui Le jaune du poussi