Salam 'alaykoum louange au très-haut... louange au miséricordieux qui, par sa miséricorde sans limite, nous a permis, malgré nos fautes et nos péchés éhontés, malgré nos erreurs et nos imperfections, malgré nos manquements à sa loi, malgré notre faiblesse dans son adoration, d'atteindre un mois sacré. quel honneur d'être encore en vie

Le mal que causent les gens est pire que celui causé par des fauves enragés ou des serpents dangereux. ces derniers peuvent être évités, contrairement aux gens. la plupart des gens sont hypocrites. le plus surprenant est qu'ils n'approuvent pas l'hypocrisie. si quelqu'un disait: "la particularité des tempéraments est que les opposés se renc

"quant à la solitude , à la réflexion et à l'étude de la science, elles fortifient les évènements de l'autre monde. par exemple, lorsque quelqu'un se promène au marché et regarde les belles choses de ce bas-monde, puis il entre dans un cimetière et médite sur la vanité de ce bas-monde et la réalité de l'autre monde, son cœur s'adouci

L’air m’empêche de respirer, il m’étouffe et me comprime. la société me réprime, quand elle doit me protéger. as-tu seulement remarqué, que les mots humanité et immanité rimaient ? rien ne sert de s’offusquer. et ainsi même en va-t-il de notre laïcité si je puis oser, fébrile, dire « elle nie ma liberté ! » mon voile en est

Salam 'alaykom déjà trois ans et même plus que je n'ai pas écrit ici. il s'est passé tellement de choses depuis. si je devais n'en retenir qu'une seule, ce serait celle-ci : ma petite maman est partie. nous parlons souvent de la mort, mais chacun pense en lui-même qu'il en est préservé. nous considérons nos parents comme étant encore jeun

Les vertes fougères donnent vie à mon corps, je respire la terre de celui que j’adore, je découvre mon âme que j’ai tant délaissée, elle regrette la vie que je la fais mener. l’herbe bruisse des lézards, des fourmis et des vers. le ciel luit du soleil, des rires et des sourires. loin devant, l’horizon m’initie à l’avenir. la nat

Salam 'alaykom alors que j'étais venue supprimer ce blog depuis trop longtemps délaissé, j'en ai relu quelques articles qui m'ont fait du bien. pourquoi ne pas le laisser dans ce cas. je suis également tombée sur le commentaire d'une personne, avec le lien vers un petit recueil : les clés du bonheur. (cheykh sa'di) je l'ai dévoré, je l'ai a

Le vent m’a dépouillée de mes feuilles rouillées du départ, endeuillée, à terre, agenouillée. j’ai haï cette solitude que je dois aduler, j’ai perdu certitude, me voilà acculée ! j’attendais une main, celle que tu m’as tendue. mes espoirs étaient vains, à tes mots suspendus. tu ne peux pas me donner. trembloter, sangloter. l