Au pied de mon arbre. ses branches frémissaient en ce matin d’hiver sous une légère bise qui picotait mes doigts dans la bleuité sombre d’un ciel un peu austère là, sur un banc, j’ai vu mon école d’autrefois envahir ma pensée, m’abstraire du présent. l’armée allemande plastronnait dans chambéry et je rasais les murs tel une p
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