Non ce blog n'est pas mort ! mais quand j'y jette un œil de plus près je me dis qu'il fût tellement plus vivant...comme moi finalement. le quartier ici est belem mais le cœur de lisbonne bat partout ailleurs sauf ici, succession de monuments assaillis par les touristes ! c'est ce tohu-bohu insupportable qui m'a fait réagir face à cet homme se

Sous les longues ombres d'un soleil d'hiver au zénith poussif, la place de cugnaux en vie. discussion il y a peu, au hasard d'un instant photo, avec un ancien prof de sport devenu peintre, et passionné par les bonzaïs. cette semaine, au hasard d'une journée ensoleillée après la pluie, ce pâtissier cugnalais qui fait sa pause du midi, en musi

" malheureusement, dans la très grande majorité des cas, les adolescents sont parlés, davantage qu'on ne leur donne la parole. " anne cordier - grandir connectés

Ici même les statues perdent la tête... j'ai découvert lors d'un nouveau rond de ronde, dans le fond du parc de la clinique, cette mystérieuse statue, empêtrée dans un amas de broussailles épineuses. le château datant du début du 19 ème siècle, je me demande combien de générations de petits châtelains toulousains en crinolines et redi

Des histoires de petits ports, de tragiques rochers, de vieux gréements, sous l'oeil opaline de l'immense phare d'ekcmühl...écoutez l'histoire de penmarch la sauvage qui souffle dans le vent. certainement l'un de mes lieux préférés du finistère sud, avec cette question qui me taraude...qu'est-ce qui fait que la bretagne me manque toujours ta

Voici...du nord au sud...souvenirs de galice, portugal, lille, pays de gaillac, etc...quelques clichés qui me sont sensibles. trop de photos à trier...l'ère numérique fait que dans tous les domaines nous vivons en mode "illimité" et tout cela nous glisse entre les doigts. tout va trop vite, je veux descendre !

Le faubourg de béthune est un des phares de la ville de lille...immenses immeubles construits dans les années 60 entre le périf' et la vieille ville, je trouve dans cette zsp, dans ses parcs, ses angles et sa démesure, beaucoup de poésie. quartier chaud le soir, désert au petit matin, la friterie traditionnelle tient bon face au mac do et les

Il faut du courage pour rester seul". gandhi