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Flora bis

Flora bis

D'origine hongroise, ayant résidé dans de différents pays pour se poser dans le Nord de la France, chez les chaleureux ch'tis...

Ses blogs

Le blog de Flora

quatre catégories menées parallèlement : extraits des oeuvres de Gilbert Millet, traductions d'auteurs hongrois, réflexions et mémoires, dessins
Flora bis Flora bis
Articles : 1221
Depuis : 03/07/2008
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Entre deux nuances de gris

Entre deux nuances de gris

Il pleut, consciencieusement, sans interruption... Grisaille, lampe allumée à 11h du matin. Je voudrais bien insuffler un peu de gaieté, à défaut, de sérénité à mon blog mais je me sens cernée... Allez, je viens de trouver une chose positive : la Rhônelle, notre ruisseau parfois invisible, n'a pas l'air de vouloir déborder pour le momen
Un jeudi mémorable

Un jeudi mémorable

Il est temps de revenir sur mon blog, non seulement pour moi mais pour la fidélité des lecteurs qui me suivent depuis, pour certains, plusieurs années, et d'autres dont j'ignore l'identité. Cette fidélité m'étonne et me touche énormément. Il est vrai que je ne fais pas de publicité pour mon blog, je ne suis pas les conseils infaillibles e
Avril le capricieux

Avril le capricieux

Plaisir rare de la petite semaine passée en compagnie de la plus jeune de mes petites-filles. Elle a 15 ans et demie. A cet âge-là, on a encore le droit de compter les demies. Des échanges toujours intéressants, quelques parties de "crapettes" (jeu de cartes) et surtout, de "baccalauréat", un peu de shopping et un restaurant avec les autres g
Année bissextile

Année bissextile

Nous sommes le 29 février : une fin de mois qui n'arrive que tous les quatre ans! Tiens, je constate que je suis un peu accro à des dates significatives. Je ne vais pas négliger celle-ci sans m'arrêter à son passage, tout en ayant une pensée pour les personnes qui auront eu moins de jours d'anniversaires, qui seront donc potentiellement plus
"Dum spiro..."

"Dum spiro..."

J'ai décidé de m'occuper un peu de moi, le temps du weekend passé. Au lieu de courir à droite et à gauche, tout en me reprochant de ne jamais satisfaire entièrement à mes obligations, je resterais à la maison. Je me pencherais sur mon sentiment permanent de vivre quasi en apnée et de survoler ainsi ma vie à la hâte, sans avoir vraiment p
Entre lumière et obscurité

Entre lumière et obscurité

Le flottement entre le haut et le bas continue... Un jour, je me réveille avec un léger mieux mais il suffit du passage d'une nouvelle angoissante pour que l'édifice s'effondre sur lui-même, aspiré vers son intérieur en un immense trou noir. Le lundi après-midi, ensoleillé, joyeux - si rare par les temps qui courent - a été un îlot rafra
La semaine dernière...

La semaine dernière...

J'allais entamer mon nouvel article par un instant météo, comme d'habitude. L'état du ciel, avant de redescendre sur terre. Au passage, je me demande, pourquoi cette irrésistible habitude? Pourquoi cet état des lieux comme point de départ, avant de laisser les idées, les souvenirs s'élancer?... Sans m'attarder plus longuement, je me dis que
Février, promesse de printemps

Février, promesse de printemps

Soleil magnifique à l'ouverture des volets. 12°. Une tourterelle entame son chant dans le prunier encore dénudé des voisins. Ses tentatives optimistes atténuent mon épuisement. Je décide de m'offrir un jour de repos, commençant par la grasse matinée car les marteaux piqueurs de la rue se taisent pendant le week end. Les courses sont faites
Une sportive par procuration

Une sportive par procuration

Etat des lieux : semaine froide et capricieuse, soleil par intermittence, averses copieuses... Matchs de foot successifs à la télé, avec des "remontadas" spectaculaires mettant les nerfs en pelote. Il n'y avait pas que nos radiateurs qui chauffaient l'ambiance! C'est peut-être une introduction inhabituelle pour ma note bloguesque de la semaine
Lettre à une amie

Lettre à une amie

Chère Amie. Tu ne sais sans doute pas à quel point tu m'aides à vivre... Ta présence, parfois, simplement, sans même le vouloir, absorbe mon désespoir. Sans essayer de me secouer, m'affirmant, péremptoire, qu'il suffit de vouloir!... Je dis souvent mon horreur de peser sur les autres, préférant me réfugier dans les profondeurs de la solit