l'obscurcissement du ciel par des nuées annonciatrices de fascisme de tous ordres, religieux, politiques, économiques, ma plume s'est sentie le devoir de s'épancher. Les nostalgies pernicieuses Les nostalgies pernicieuses, Poussières sépia, Lancées par des maîtres –manipulateur, Anesthésient le futur. Alors, les hommes vides, Hallucinés

Dans des palais cinq étoiles des êtres aux bracelets plastiques significatifs, entre piscines toboggan palmiers et mer d'huile, délaissent des litres de vodka,de coca à peine entamés pour humecter des lèvres qui n'ont jamais connues la soif, Quelques mètres plus loin, des vaches faméliques, heurtent leur flanc aux murs d' arrières cours bo

Bonjour, en ces temps frileux couards et humides où tout se recroqueville,, dés le 5 février 2015 va paraitre mon prochain bouquin qui mêle constat de désespérance et chaleur humaine dans une plaine où les fantômes l'emportent sur le réel.... Les quatre saisons de Rimbe Les enquêtes du poète libertaire – Allô, Rimbe ? En un instant, m

le poète sort de sa tanière hivernale... et loin des trésors illusoires enfouis à Singapour où ailleurs, il vous propose des miettes d'une terre qui a vu s'effondrer nombre d'empires épiscopaux, féodaux et même financiers. Le temps passant seule l'haleine de quelques troubadours parsème le ciel de bribes de désirs inavouables. v L’hiver

Modeste et réservé, l'auteur qui depuis toujours aime jongler avec les mots et les tournures de phrases poétiques aurait aimé vivre de cette noble passion, mais il fallait bien assurer l'essentiel pour subsister avec sa famille. Ainsi, Gilbert Vincent-Caboud a passé une grande partie de sa carrière professionnelle comme employé de maintenanc

« Liturgie du ventricule roi dans un vendredi soir suburbain. » Sur les placettes brodées De pensées méticuleuses La blessure blanchâtre D’un crépuscule anonyme Se souille d’indifférence. S’immisçant dans les corps essorés L’ombre des civilisations titanesques Enrobe de tam-tams obsédants Les nappes fleuries, Des huis clos conjug

Certes les grandes quincailleries religieuses, morales et financières les ont relégués derrière le placard à balai, imposant dans la vitrine les marionnettes cruelles extirpées du sexe stérile d'un soleil mort...Mais, dans l'ombre, soutenu par l'ordinaire des mains tendues, ils tricotent des maillots de mots, brodés d'utopie salvatrice... D