Pas encore inscrit ? Creez un Overblog!

Créer mon blog
Tristan Lunair

Tristan Lunair

Ses blogs

tristanlunair.overblog.com

ART D'HEURES POéTIQUES Tous droits réservés Lunairium/créations
Tristan Lunair Tristan Lunair
Articles : 246
Depuis : 19/12/2012
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Un poème

Un poème

Lui pressentait dans l’embrasement sa peau en cendres caressée par mes mains de feu un jour absolue sa dissolution dans le soleil en lui demeurait l’urgence de vivre de saisir l’univers dans son impossible entier avant l’ultime saut dans la nuit définitive et sans étoiles. Extrait du poème ADM Prose poétique en cours d'écriture Photo
Atmosfera Poème

Atmosfera Poème

un comprimé sans eau dans une effervescence organique vouée à la dissolution une rétine presque réelle façonnée dans la pierre saigne sous les coups d’un burin de fortune on statue la légitimité de l’obscurité au détriment de la lumière pour se séparer d’une multitude hypnotisée on dévoile derrière l’épiderme la liberté so
IN CONFINEMENT-UN POEME

IN CONFINEMENT-UN POEME

perdue la sensation du vent sans conséquence le temps ne m’affecte plus t’inflige une absence et de ma désincarnation à quoi bon si de moi elle est cette poussière qui t’irrite l’œil l’infini définit ma totale dissolution il me faut concevoir d’être oublié être là j’ai su je pouvais te déterminer te ressentir à l’extrêm

adm j’ai pratiqué les étoiles sur l’une d’entre elles tourner en rond m’était inconnu j’ai prononcé des mots je t’aime j’ai voulu souvent te dire quand j’ai eu vent de toi mon amour je te l’écris car le silence nous ronge avec les vers dans la conscience éteinte et tant de fois assouvie cette animalité qui me recueille dans
Printemps des poètes version II

Printemps des poètes version II

Sur le thème de l’Ephémère Printemps des poètes 2022 uni à l’arbre un lierre tente le ciel l’enlace infiniment il croit la cime sans fin au bois mort s’éternisent les étreintes passées lui au plus près de la chair s’il conçoit son absence c’est par l’enfouissement du lien arraché sa décomposition dans les obscurités de la
Sur A quoi bon la nuit

Sur A quoi bon la nuit

Sous le ciel, tout nous ronge, et sous nos pieds, des horloges déstructurées, piétinées, avec pour mieux se souvenir, leurs aiguilles pointues sciemment plantées dans le cœur, et leurs boulons qui roulent vers les caniveaux, puis te voir succomber là, parmi tous ces cadavres mécaniques, qui signifient notre impermanence. On pourrait penser

je suis sans toi sans sang ni chair je suis passé dans l’air à peine étions-nous perceptibles saisissables comme le sable avec la haine entre les grains l’amour contenu dans la paume de nos mains se déversant sur la peau l’univers qui se réfléchissait dans nos yeux et les prochains nuages qui survoleraient nos corps séparés je pressen
Printemps des poètes

Printemps des poètes

Sur le thème de l’Ephémère Printemps des poètes 2022 uni à l’arbre un lierre tente le ciel l’enlace infiniment il croit la cime sans fin au bois mort s’éternisent les étreintes passées lui au plus près de la chair s’il conçoit son absence c’est par l’enfouissement du lien arraché sa décomposition dans les obscurités de la
Poème de voyage

Poème de voyage

D’après le Christ Voilé (Cristo Velato) de Guiseppe Sanmartino Chapelle Sansevero Naples novembre 2021 Cristo Velato d’une éternelle inertie il est sous le voile entier recouvert son cœur sculpté à l’intérieur d’un rouge figé ne cesse pas d’être imaginé exclues sont ses veines quand j’y songe j’éponge son absence de sang et
Post-déconfinement UN POEME

Post-déconfinement UN POEME

green children à Jean-Marie laisse béton une case où je suis rangé à mon insu des barreaux psychologiques en guise d’incarcération c’est l’infini qui me définit ad vitam aeternam je reviens de l’herbe des fleurs sauvages m’ont poussé dans l’âme leurs racines s’accentuent sous la plante de mes pieds quand j’ai le corps fixe