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Pape Oumar Datte

Pape Oumar Datte

Je suis un jeune homme ambitieux épris de poésie avec l'ambition de faire de ce monde un monde lyrique. Je peux sembler utopique à travers mes vers mais en faite seuls l'encre de mon cœur motive mes écrits.

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Poésie

Les mots parlent: Ils vous narrent les vérités d'un garçon incompris, ils vous content les effluves de son coeur maladroits; ils vous invitent à lancer un regard critique sur sa mélopée, son mélodrame, sa vie...
Pape Oumar Datte Pape Oumar Datte
Articles : 21
Depuis : 24/10/2015
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

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Qu'est ce que le monde sans quelques ennemis, sans quelques blessures et quelques réactions de dépit ? Qu'est ce que le monde sans ses quelques bêtes qui mordent , te harcèlent à tort et te torturent sans répit ? Qu'est ce que l'homme mature sans ses quelques réactions puériles ? Qu'est ce que la honte sans ces quelques erreurs indélébile
Les astres

Les astres

Jupiter est au firmament Neptune est une utopie Saturne est une tragédie Contée par la valse de ses amants maudits Enfant je me voyais me promenant Sur le dos de Pégase vers la ceinture d'Orient Andromède belle me contemplant Je demanderai sa main à Cassiopée Dussé-je finir comme Prométhée Mars lui regarde d'un oeil jaloux Cherchant à dé
Jeune

Jeune

J'assume toute joie et toute tristesse Toutes les cicatrices et marques de tendresse Le monde n'en a que faire de ma jeunesse Qui s'enfuit comme des pétales sous mes jambes en liesse Dans les livres j'ai cessé de chercher Cette maturité qui ne fait que me blesser Je continuerai de me réfugier vers ma fougue Jusqu'à que par mes larmes s'évacue
Le Soldat

Le Soldat

Curieuse est cette mélodie qui bourdonne dans ma tête Le souvenir de mes drames romantiques ne m'ébranle d'une miette La symphonie du bonheur m'est pourtant toujours étrangère C'est à croire que cet amalgame de déboires m'est devenu si cher Je n'ai pourtant guère trouvé d'intérêt à cette vie puérile Je maudis mon passé difficile en me
Epître

Epître

Ô père! Vois ton fils sortir des décombres du désespoir Se plogeant dans les ruines de ce monde vil et noir Je ne sais quel plaisir j'éprouve à compter mes périples Aurai-je besoin de prouver que je fus un bon disciple ? Je me prive de lamentations: Ma plume le fait mieux que moi Elle est cette faiblesse que me reproche les abysses de mon su
L'arbre (à mon père)

L'arbre (à mon père)

Je me souviens que quand me battait la chaleur de l'humiliation Je me réfugiais sous ton ombre pour y retrouver le salut de ta compassion Je me souviens qu'avec toi nul besoin de résignation Car tu es le fruit qui vivifie mes aspirations Tu es ce baobab sexagénaire qui m'a nourri du pain de son savoir Me regardant grandir sur cette terre au beau
Le monde

Le monde

Le monde est un fardeau que seul les faibles traînent J'ai grandi en lui cachant le poids de ma haine Je suis de ceux qui apprécient la symphonie du malheur Car je l'écris avec les singulières notes de la rancoeur Le monde est un rêve dont seul les esprits se réveillent Ils voient la vérité sous la lanterne de l'Eternel Tandis que dans nos
Je suis

Je suis

Je suis ce rayon de soleil sur un visage terne Je suis cette goutte de pluie sur les drapeaux en berne Je suis ce sourire qui se partage dans les malheurs Et la symphonie qui illumine vos coeurs de bonheur Je suis cette larme sidérée par l'effroi Et que le sol noie dans le précipice de l'émoi Nul ne peut comprendre un bonheur avorté à la fleu
Le phénix et la rose

Le phénix et la rose

Je ne sais de quoi sera fait l'avenir Je survis en tenant aux choses auxquelles j'aspire. Je ne sais de quoi sera fait le lendemain Pour mon âme souillée sur ce long chemin Je ne mesure plus le chemin parcouru De peur de me rappeler ce que j'y ai vu Je n'oublierai jamais les larmes de la mère Aux bras de la quelle ils m'arrachèrent M'ôtant tou
La Venus peuhl

La Venus peuhl

Ô Aphrodite peulh aux mains noires A la chevelure longue et aux yeux illusoirs Que n'ai-je rêvé de tes caresses du soirs Sous les arbres fânés de ma jeune gloire Tu réveilles en moi le feu ardent du désir Ton parfum d'Ambroisie étreint ma clairvoyance et les aspire Ton regard de Houri m'inspire et me fait rougir Dans tes bras divins heureux