Me voici enfin à Sofia ! Assez déprimée puisque Lufthansa a perdu mes bagages (la peste soit des correspondances...) mais entière. Commençons par le voyage en lui-même, ou plutôt par l'arrêt à Francfort de 14h à 19h. Après une heure de vol, je descends de l'avion à Francfort. S'ensuivent quelques péripéties (si l'on vous dit : "pour S

.. mais voici l'article que j'avais écrit à l'époque sur mon voyage en Grèce - septembre 2008. --- De Sofia en Chalcidique en passant par Athènes et Thessalonique : récit d’une semaine en Grèce Première vue de la mer, en sortant du tramway.. 7 jours à vadrouiller sur le sol grec, en empruntant les transports en commun, deux points de chu

Billets d'avion achetés depuis deux jours. Un poids en moins ! 250€ pour un aller-retour Toulouse-Sofia, incluant une après-midi d'arrêt à Francfort. J'arriverai à Sofia le 8 juillet vers 23h, ce qui ne m'enchante guère... Je ne sais même pas encore où se trouve mon appartement ! J'espère que l'un de mes futurs colocataires pourra venir

Le 1er août, j’ai déménagé. Tout d’abord, Arnaud, mon colocataire dévoué, se charge de tirer porter ma valise principale, qui doit bien peser dans les 20 kg, le long de la route où nous cherchons un taxi. Après 20 minutes d’attente où tous les taxis, sans doute effrayés par la vision de deux jeunes qui, à 21h, portent une pléthore

Après deux semaines de pluie, deux semaines où mes gants en cuir d'agneau ne suffisaient pas à protéger mes mains du froid, deux semaines où le ciel gris s'égayait pafois d'éclairs, le soleil, enfin. Comme un frôlement de chat sur mon bras..

Dimanche 3 août, 10h30 : départ pour un périple long d’une journée et pourtant truffé de coïncidences malchanceuses. Direction : Rila, monastère perdu dans la montagne Vitosha, toujours peuplé de moines et haut lieu du tourisme bulgare. Une telle description laisse à penser que les dessertes sont, du moins efficaces, au moins régulière

Week-end des 9 et 10 juillet : Varna. Une épopée, à nouveau. Le bikini ne fait pas la touriste.. Nous partons le 8 juillet au soir, par le train de nuit, pour lequel nous avions acheté les tickets le midi. Trop tard, me direz-vous ; en effet. Sans couchette, durant neuf heures, sur un petit siège, le dos meurtri, le froid glaçant, le bruit ex

Ne comprenant pas le bulgare, je fais mes courses comme un enfant : en regardant les produits et, lorsqu’il s’agit de conserves, les images. Dans mes premiers temps, en quête de sauce tomate, je parcours d’un œil attentif les rayons, me décide après moult réflexions pour un petit pot. Une tomate est dessinée sur l’emballage. De retour