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Bertrand Emmanuel Henri

Bertrand Emmanuel Henri

Un ours, il parait, mais qui sait aussi être plein d'attentions, à l'écoute, patient. Enfin patient comme un élastique, qui absorbe plein de chose jusqu'à ce qu'il casse, et là, ça pète à la g... Ne mange jamais de sucrerie sauf du chocolat

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Le blog de Bertrand Emmanuel Henri

Des textes, des textes, et encore des textes. Je me lance en octobre 2008.... Serai-je encore là en 2009 ?
Bertrand Emmanuel Henri Bertrand Emmanuel Henri
Articles : 6
Depuis : 10/10/2008
Categorie : Mode, Art & Design

Articles à découvrir

quasimodo

Quasimodo pas de repos ! Négro, nabot, fous toi à l’eau ! Aucun espoir pour Lilliput Pour vous, la vie c’est uppercut. Niakoué, clodos ou bien triso, Pour vous jamais d’Eldorado, La mort est votre seul cadeau, Une niche bien crade, le caniveau. Il n’y a que les bestioles qui vous adorent, Vous sucent le sang, vous troue la peau, Et pour

Marco polo

Je suis "accro" à la soie, à la soie de ta peau , celle cachée plus bas, où plutôt tout en haut, de tes jambes fuselées, là, près de l'abricot, un verger où les fruits n'ont pas de noyaux. Je suis "accro" à la soie, à la soie de ta peau, celle que je caresse tout au bas de ton dos, des surfaces élastiques, souples ballons chauds, que je

Elise

A travers mon pare-brise, je vois tes lèvres esquisser, Le sourire neige et cerise qui m’est destiné, Mon cœur fait une crise, il est tout affolé De croiser son Elise, encore dix mètres et tourner. C’est encore quelques heures de plus à digérer, Des passages superflus au pied du colisé, Des vitres propres, essuyées aux ballets des bala

Allez !

L'absence est comme une panne d'essence en plein désert, on a peur, on a soif, faut marcher et se taire. L'absence a ses limites n'importe où sur la terre, c'est l'amour qui les fixe, l'espoir en fait son affaire. L'absence est comme un panne des sens après dessert, on attend l'addition, mais a-t-on assez de " fer " ? L'absence est volontaire, e

jamais, toujours ?

J'aime jamais comme j'ai peur de toujours, C'est la même durée dans n'importe quel discours, Deux syllabes chacun, une seule unité de temps, Qui cimentent après, pendant, avant. J'aime jamais comme j'ai peur de toujours, Car tous les jours, jamais le soleil ne fait défaut, Il se lève toujours même s'il ne fait pas beau, Mais ne réchauffe ja

Verre

C'est un verre de menthe, du moins ce qu'il en reste ,Posé sur le bahut, à coté de ta veste,De la menthe poivrée, juste un peu sucrée,C'est un verre marqué du rouge de ton baiser. C'est un verre de menthe, du moins ce qu'il en reste ,Là, sur la table de nuit à coté de kleenex,De la menthe diabolo, sucrée et pétillante,C'est un verre marq