La vieille aigrette : Mais moi je ne veux pas que tu partes ! Tu as dans ta flûte, les chants de la joie qui font couler des larmes bienheureuses et éteindre les flammes de la tristesse, je crois que je t’aime… Lili : Tu m’aimes bien au fond…peut-être. La vieille aigrette : Je t’aime tout court, et cela est sûr, ne vois-tu pas dans ma
Gildas Koffi K. B.
Gildas Koffi K. B.
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14/07/2015
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Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Un rossignol chantait Et l’accompagnant, une rose A peine éclose Son encens distillait Dans l’air de mon jardin Quel doux matin ! Soudain, ô vision surréelle ! Un albatros déchirant le ciel Arrive au milieu de l’ouragan Rose et rossignol effrayés, s’enfuient dedans L’albatros dans le vent plane et nage Puis pique du bec vers les nuag
Elle rendait tout le monde doucet, notre petite Amihie ! Même les chiens menaçants, à ses cotés devenaient dociles. Qu’elle était charmante lorsqu’elle imitait le tourbillon ! Vous la trouverai dans tous les bras, revenant de ses petites promenades toujours avec un bonbon ou du gâteau reçus de ses nombreuses amours. Elle marchait à pein
Ces ingrats ! Ils démembrent et traquent Du bout de leurs langues, mon âme, ma vie. Mais une flamme poursuivie par la pluie, Court-elle se cacher dans le lac ? De loin, on voit approcher la nuit. De son trône, il ne peut plus courir les prés : « La mer s’est assise à mon chevet, C’est elle qui a inondé mon lit ! » Sous son visage que le
Les beaux papillons Fleurissent en campagne Orange, blanc, vert ! Bonne fête à tous ! Que le Fils vous affranchisse !
Je suivais la caravane du regard, Les yeux plein de hasards Et d’histoires inavouées. Lorsque sur moi ton regard s’est arrêté, La foudre repris son nom, Puis vinrent des frissons. J’ai dit : « Emmène-moi ! » Ensemble, nous avons fait le voyage. Toi et moi. L’amour devint notre secret, comme en mariage. C’est depuis ce jour, Que je s
Nemrod fut de son temps, A l’époque des sumériens, De la cité des atlantes et des akkadiens, Le chasseur le plus vaillant. Savez-vous seulement en tous les lieux, Comment il guerroyait avec les nations ? Lui seul avait cette potion, Dit-il reçue des dieux. Et avant que de fondre sur la proie Ou sur l’adversaire, Il y plongeait l’épée, l
Pour mes fréquentes indigestions, J’usais d’un peu de vin modéré, Suivant le conseil de l’apôtre à Timothée[1]. Je me servis un verre et bus sans précipitation, Puis un autre que je gardai près du lit. Une meute de moucherons s’y invite. L’ainé dit : « c’est le vin du roi, petits ! Courons ! Éloignons-nous ! Vite ! » Les plu
« Les roses ont quelquechose qui nous enchaine Quand elles paraissent parfois un peu à la traine » Ils vont par les vastes champs, La faucille à la main, travaillant, fauchant, Tout le jour… Au crépuscule, ils rentrent leurs charges à dos. Et ils reviennent dès l’aurore avec leurs fardeaux, Muets, endeuillés, sans aucun chant d’amour
Quelques jeunes renards, Pour éprouver leur ruse, Venaient souvent voir Un vieil âne et à chaque fois l’accusent Et le blâment pour sa race. Monsieur De l’Âne, Firent-ils un jour. Au Ciel, veuillez demander grâce Pour qu’un peu d’esprit habite votre crâne ! A nous, Il accorda des lumières avec largesse. Criez à Lui et vous vivrez c