Je me souviens de la tendresse de ta bouche, L’électricité douce de tes lèvres Tendres telles du métal. Je me souviens des diamants dans tes yeux, Bleus comme l’émeraude Scintillants comme les ténèbres. Je me souviens de ton visage éteint par la lune, Ton visage éclairé descendu de l’impasse des cieux Une course sans montre commenç
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Blog sur la vie des poilus dans les tranchées pendant la Première Guerre mondiale
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"17 avril 1916 Mes chers parents, Dans les tranchées, les conditions de vie sont très difficiles : manque d’hygiène, pas de toilettes, la pluie, la boue, les excréments qui se mélange avec les cadavres. On mange toujours la même nourriture, le « singe », cette nourriture en conserve dure et sans goût. Les épidémies de choléra sont app
Où tristesse serait bannie Où ton sourire empli de bonheur comblerait mon cœur Où séviraient des plaisirs ardents Tes lèvres me caressent telles un soleil au crépuscule qui refroidirait mon cœur Éprise de toi, je me livrerai à des plaisirs sans partager Tes yeux m’éblouissent de mille feux tels l’obscurité pénétrante des ténèbre
"Le 29 janvier 1916 Ma chère famille, Vous me manquez énormément. Ça fait deux années que je suis parti. Je suis à bout. C’est bientôt la fin pour moi. Le village est rasé. Il y a des centaines de cadavres autour de nous. Ça sent très mauvais. Il fait froid. Des rats tournent autour de nous à longueur de journée. On tombe tous malades
Lettre de Poilu 23/12/ 1916 Maman, Depuis que la guerre a commencé, je n'ai pas souvent eu le temps de t’écrire des lettres. c'est très dur sur le front, toutes les fois où je suis tombé gravement malade, On ne se lave même pas, on passe des journées avec nos habits remplis de boue, on ne trouve pas beaucoup de temps. On fait toujours les
Mon cœur sombre illumine tes pupilles Et tes lèvres sont un mystère Je me noie dans tes yeux comme dans le ciel Pourtant je garde les pieds sur terre Le temps passe et est éternel Tes lèvres me scrutent toujours de la même façcon La chaleur de ton regard me refroidit Et ton souffle est une tempête Mais tu me fuis Alors pense à nos moments
Souviens-toi d’avoir regardé l’heure dans le ciel Le soleil se couche sur tes paupières Le rouge sang de tes lèvres marche sur l’horizon Tes joues rondes comme un accordéon Souviens-toi d’avoir été comme une reine sans royaume Ton sombre sourire brillait sur nous Tes cheveux dansaient partout Les lumières de la ville étaient tes luc
Souviens-toi de notre monde sans paradis fiscal Souviens-toi de nos lèvres rouges semblables au coucher de soleil Souviens-toi de ces nuageuses paroles qui marchaient sur le sable Souviens-toi de cette rencontre tordue et inattendue Souviens-toi de ces moments où j’ai sombré dans les ténèbres Lorsque tu avais tes cheveux dans les miens Et qu
Souviens- toi de la mort comme les jours Nous reculons dans une allée déserte où on voyait le monde à l’envers Tes joues rougissaient de malheur Souviens- toi du noir comme la tragédie Rappelle-toi l’aube qui envahissait ton visage Le vent respirait ta peur Souviens- toi le rêve angélique que tu aimais regarder Rappelle- toi tes cauchema
Nous, élèves de troisième prépa professionnelle (2017-2018) du Lycée Jean Geiler de Kaysersberg, avons réalisé ce site pour ne pas oublier ce qui s’est passé. On a écrit des lettres de poilus imaginaires en s’inspirant de vraies lettres de poilus tirées de l’ouvrage Paroles de poilus, comme si c’était nous qui étions à la guerr