La Cabale des Navets Le visiteur non averti risque de penser qu’il est tombé sur quelque chose d'extravagant. Il n’aurait pas vraiment tort… Qu’est-ce qu’un blogue romanesque ? Un nouveau concept ? Nous n’irons pas jusque-là… quoique… Nous n’en connaissons pas d’autres du genre… Commençons par le début : Il était une fois
Slévich
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La décrépitude de l’asphalte ne géhenne pas la progression motorisée dans l’Hexagone, mais lorsqu’on évolue de nuit, on regrette la Belgique, mieux illuminée que les jardins de Néron par les torches chrétiennes : sur nos routes, si crevures et cratères soulèvent des cahots inopinés tous les cent mètres — la vileté de la gratuit
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Tu es ma black My Black Panther Un psycho-univers De chair et de sang black Sourire amer Quand je t’attaque Tes dents mordent ma chair I’m falling on your back Ma black, my Black Panther J’aime ta peau amère Parfum aphro du black Aphrodisiaque Tu es ma black My Black Panther Un aphro-univers De chair et de sang black Regard sévère Quand je
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L’innocence, la naïveté et la maladresse, ces vipérines marâtres qui empoisonnent inéluctablement les pétulances des sans-dons sans maître, domptèrent son aboulie, le cornaquant dans les épanchements de prédilection du myocarde battant la mièvrerie : Vénus, la passion et, pour être pointilleux, les bobos idoines, des leitmotivs souve
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Et tu dévales les trottoirs – La haine te poursuit sans cesse, A la recherche de comptoirs Pour noyer toute ta détresse Aux élixirs de la faiblesse ; L’oubli n’offre qu’un bref soupir, Juste le temps d’une caresse : Demain, raison fut souvenir. Tu veux cogner de tes poings noirs Le nom maudit d’une maîtresse : Tu ne brises que les m
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Il ne quittait plus ses quartiers, parqué dans ses austères études et méditations prosaïques annexes. Sa mère, dont la délicatesse s’opposait à entraver les toquades de ce fils au passé calamiteux, dans une dévotion de caryatide à même de soutenir contre vents et marées l’exosphère des pires facéties, s’affligeait en ce mutisme
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Il n’avait pas fêté son quinzième anniversaire et il était le plus jeune lauréat. En toute partialité, qui évaluerait mal cette composition, malgré la discordance des temps ? Le Renaudot a bien consacré un pavé inondé d’accumulations faciles dans quoi barbotte ce type de souillure : « Tout se moquait que je vienne au monde, mais tou
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À ce stade du récit, cette dureté à son endroit m’a émue, trop vacharde, d’autant plus que j’eusse pardonné à n’importe quel mirliflore de succomber à une ostentation prudhommesque s’il eut rédigé ces versiculets : Sans un bruit Une nuit Il comprit Dans son lit Que pour lui Les ennuis Et le gris C’est fini. Sans un bruit Il so
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Après avoir épuisé tout autre sujet, si mon cerveau malade s’abandonne à la lucidité théologique, s’il se met, au hasard d’une circonlocution neuronale, à penser à toi avec sérieux, mon amour, une charmante allégorie s’esquisse : une côte, comme la faim aiguillonne l’esprit à s’obnubiler sur l’image d’une côte de bœuf.
Souffle le vent Nos cœurs s’élancent Par la violence De ses doux chants De ces doux chants Tant d’espérance Et l’amour danse Nous réchauffant Tes doux cheveux Nous enlaçant Et tes doux yeux Me recherchant D’un regard tendre Et si violent Comment violents Tes baisers tendres Sont en fusion Avec le vent Et ses doux chants C’est la pass