Putain d’merde, ça débute comme une cuite entre potes marié, au premier shoot on est tous poli avec la serveuse ensuite on a plus qu’une seule envie c’est de l’enfiler en mode hardcore, on en a plus rien à foutre des convenances, on a plus que cette musique électro, presque minimaliste entre les refrains hurlés et on se deshinibe face

Faussement doux et calme, la musique du monsieur ressemble plus à un après rasage au cognac qu’a un soin du visage Yves Rocher et pourtant c’est bon, c’est plaisant et ça passe tout seul dans le gosier de l’oreille. Pas de gratte kolossal ni de drums à 300 tours minute, ici on est zen, on est camé de cette ambiance malsaine entretenue

Etrangement cosmique, la musique délivrée par l’ancien bassiste de Kyuss est surprenante. Là où j’aurais pu m’attendre à un album trempé d’un groove à la basse vrombissante et aux riff acérés et je me retrouve à écouter un rock FM minimaliste avec un brin d’effet électro sur le chant et certaine section rythmique. Les compos s

La petite buzzy était top sex dans ses clips (j’étais jeune…mais ça n’excuse rien, je sais) et j’ai craqué, j’ai acheté une sorte de best of en double album avec un petit livret décevant car trop peu de photo cocho…heuu correct et une musique typé 80’s plus quelques titres récent sans aucun intérêt. Bon, elle aurait travaill

A boire et a manger mais surtout à boire, liqueur de chatte et jus de mamelles, rien en dessous de 60°. L’album a le chic pour mettre à l’aise les braguettes et le premier morceau est bien représentatif de ce dont est capable l’excellent compositeur qu’est Brant. Oublier l’étiquette kyussienne qui lui colle trop injustement à la pea

Qu’est-ce que le king du desert rock crade et bluesy nous a pondu comme merde electrocosmique ! Voilà la putain de réflexion que je me suis faite à la première écoute de l’album, j’ai difficilement finit l’arborescence du disque et j’ai du ruminer ma déception quelques jours avant de revenir sur chacun des titres et…finalement c

Une connaissance m’a parlé de cet opus en me le décrivant comme une véritable bombe…je me suis donc forcé à l’écouter…, je me suis fait avoir comme un schtroumpf. Délire d’ado monté de toute pièce. Dans le même registre de son que Kelly Osbourne, rangé au rayon « merde internationale » de tout bon disquaire. Rien d’autre à

Comment décrire une œuvre musicale aussi puissante, aérienne, menaçante et paradoxalement attirante qu’est la musique de Syria ? J’en sais foutre rien car en vérité les albums du groupe se présentent comme autant d’expérience pouvant être vécu par l’auditeur aussi bien comme un émerveillement nostalgique ou une angoisse dépressi

Tiamat sort de son melodico-death avec un opus lent, inégale dans la qualité des titres mais terriblement charismatique. Je pense que je n’aurais jamais pu apprécié la puissance et la beauté de cette putain de rondelle si je l’avais découvert à l’époque de sa sortie, mais 10 ans plus tard, en ayant gagné une petite once de maturité,

Indochine c’est un peu comme un vieux pote que tu peux faire sans voir pendant des années et que tu retrouves toujours comme si on s’était quitté hier. Evidement, ce groupe a une grosse attraction nostalgique sur moi et donc je serais complètement arbitraire dans ma petite chronique. Comme pour la plupart des opus du groupe, il y a de l’i