Ces lignes ne sauraient te troubler Mais peut-on écrire cela Tisons assoupis de rêves empoussiérés D'un amour à petit pas Les années envolées Sans effacer l'amitié Gouts d’un bonheur sublime de douceur Les yeux dans les yeux rivés Se ressentir vibrer Et juste nous souvenir d’un ineffable bonheur Nous avions la passion spontanée D’un
Pampelune
Pampelune
J'aime les mots pour le goût qu'ils donnent à nos rêves... à nos bonheurs... à nos douleurs...
Je suis un rêveur tombé par mégarde dans cette machine détraquée qu'est ce monde...
Mais je sais reconnaître celles et ceux qui dont le cœu
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27/06/2008
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Lifestyle
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Lorsque le jour se fatigue du crépuscule Je viens me poser sur le bord de ta feuille Pour écouter les caresses de ta plume Je me fais tout petit plus furtif que mon ombre Le temps que l'encre de tes lignes imprègne La trame céleste de tes poussières d'étoiles Je sens le battement de tes cils dans la pénombre Je devine l'écriture de ton rega
Dis-moi pourquoi ton regard est un mur Sur lequel ma tendresse se brise Pas même une aspérité d'espoir A en oublier le sens d'y croire Alors mon âme dans le gris s'enlise Et que monte ce sourd murmure Entends-tu ce cri du silence Que seul peut percevoir la souffrance Pas à pas je m'enfonce Sans y laisser d'autre trace De ce que de moi tu déni
Ce n’est que lorsqu’une page se tourne Que je ressens fort le gout de ses mots Qui à jamais ne seront plus que des maux Dont la tristesse dans mon cœur séjourne On se souvient alors de nos gestes insignifiants De ces moments rituels qu’on croyait éternels Cette douceur dans mes bras de la sentir belle Et dont l’absence laisse dans mon l
Vain temps qui tout nous prend La main de la petite fille blottie Qui dans la mienne trop vite a grandi S’est échappée… et pourtant Vint tant d'amour dans le temps évaporé De gestes tendres en habitudes transformées De nuits blanchies d'attentes angoissées De concessions en reculs… et pourtant Vint temps de toi à moi incompris Chacun s
Reste au creux de mes bras Mon amour Je voudrais à jamais Me blottir contre toi J'ai tant besoin de ta chaleur Lorsque le jour se meure Te sentir contre moi Y enfuir moi désarroi Si je reste vers toi Resteras tu vers moi Rien que toi d'émoi Jour et nuit rien que ça Dans tes yeux Je me sens si bien Sans peur du lendemain Amoureux tous les deux J
Le lac est comme un miroir de lumière Qui transpire sa vapeur Le ciel tout pâle de clair S'y regarde et s'y fait peur Les maison les arbres désespérément S'accrochent de leur bras à la montagne Elles se blottissent sous la buée du vent De crainte que le brouillard ne les gagne Les oiseaux sont partis noirs dans leur ombre Vers le sapin qui d
Figés les sourires sur les masques blancs Vidés les regards de ces yeux absents Convenu le ton des conversations Verrouillées les couleurs de la création Effacé des cœurs le moindre courage Oubliée l'amitié des tendres partages Disparue la liberté des premières envolées Déchirée la toile de tant de rêves brisés C'est une place autref
Pas après pas qui s'enfoncent Dans la boue qui m'engonce Je tape ma tête contre l'obscur Désir de mes rêves impurs Des gens transparents indifférents Aux vaisseaux fantômes de mes tourments Je leur crie à la face ma douleur à mère Comme on jette une bouteille à l'amer Je ne reconnais pas ce chemin Cette vie qui ne me dit rien Autour de mo
Regarde le ciel bleu Ecoute les rayons du soleil Que peut-il dire de mieux Que de montrer ses merveilles Tu peux partir loin si tu veux T'en aller sous d'autres cieux Mais dans ton cœur sache bien Que rien ne pourra briser ce lien Tu peux tout oublier si tu veux Nous faire croire qu'ailleurs c'est mieux Mais dans nos cœurs on le sait bien Que tu