Un ciel nuageux, Douleur au coeur. Un éclair pourfend, je m' effondre. Colère des cieux, un volcan dans mes entrailles. La foret, asséchée par l'été, prend feu, Je m'embrase. Les flamme dévorent le bois, une rage me ronge. Accalmie silence, sa va commencer. un instant, une éternité l'orage éclate, enfin. Libération goutte à goutte. le b

Une derniére lueure, le jour s'enfui. reste les ténébres, affamées.

Elle m'a enfermé dans ce coffre sans fond, égarée dans ce glacial océan., cette chienne de vie.. Dans cette petite boîte, Torturée par les mots, des mots creux, sans résonance, vides de sentiments affamés.. je me perd. De ma chaires ils se nour rissent. Ils me dévorent, me pillent me mettent en lambeaux, m'estampillent. Me déchirent. Terr

Histoire d'innover je me suis essayée à un autre style: la poésie. Art beaucoup plus délicat, tant de chose à dire, trop peu de mots pour les exprimer... Quelques années et déjà fatigué plus d'espoir, plus d'envie ni vivant, ni mort juste embourbé dans un ennui infini, gangréne prolifique, d'un apétit insasiable, patiemment, elle le ron

Voici le premier chapitre du roman que j'ai commencé à écrire, que l'on se rassure ce n'est pas un récit philosophique à la Sartre mais une oeuvre romanesque, un peu du genre Poppy z. Brite. Enfin j'aimerais que sa le soit mais je n'écrit pas aussi bien qu'elle.

Humanité larmoyante, tait toi, tes gémissemen me trou le crâne cesse ce bourdonnement incessant arrête de geindre et redresse toi pitoyable, méprisable tu est pleine de failles divisée, affaiblie, meurtrie corrumpue par les loi de l'univers misérable humanité trop faible pour lutter je ne veux plus t'entendre chialer. Tu sais je peux vocif

Cela faisait des mois qu'elles ne s'étaient pas vu, des mois qui lui avait parut durer des années. Elle lui avait manquée, affreusement, et d'ici qu'elle instant elle pourrait enfin la revoir, sa chére Aymerie. Elle en tremblait d'excitation. Elles s'étaient données rendez vous au père Lachaise, entre la tombe de la Fontaine et Moliére, on

Tic tac Tic tac réveillée par ce contact glacé, de ta faux caressant mes hanches cesse de jouer avec moi et décide toi viendra tu me chercher? Je t'en pries met fin à ces interrogations, perpetuelles, tranchantes. Sous ce verni glacé une poupé brisée pas de colle pour réparer trop laide, rien à récupérer Cette grande bouche en nylon va

Habitée d'une colère destructrice violente envie de faire mal. Familière Haine, amère colocataire cesse de me provoquer d'attiser ces braises, ardentes un grand fracas. les dernières barrières s'effondrent je vais craquer pitié arrêtes toi là ne vas pas plus loin. entraînée sur cette pente, glissante je ne peux plus m'arrêter. Brutale c

« j'ai attrapé une petite souris, une petit souris, petite souris joue avec moi » Dans le cimetière du Montparnasse on pouvait entendre une chanson s'élever au coeur de la nuit, une voix résonnait dans le caveau des Heidegger. __j'ai attrapé une petite souris, une petit souris, petite souris joue avec moi, __hummm __ quoi je comprends pas ,