Pas encore inscrit ? Creez un Overblog!

Créer mon blog
epines-du-coeur

epines-du-coeur

Ses blogs

Epines-du-coeur

epines-du-coeur.over-blog.com
epines-du-coeur epines-du-coeur
Articles : 49
Depuis : 20/02/2012
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

"... oublier c'est pour le passé. moi, je bois pour ne pas voir le futur."

"... oublier c'est pour le passé. moi, je bois pour ne pas voir le futur."

La jupe et la chemise sont droites, les escarpins cirés, les bas neufs, les cheveux impeccablement coiffés et la veste sortie du pressing est sur les épaules. Elle attrape son sac, jette un dernier coup d'œil au miroir, prend ses clés et ferme la porte. Descendue du taxi, la démarche assurée et le sourire à demi effacé, elle entre dans l'u
- Le défi -

- Le défi -

"écrire avec des contraintes" => J'ai demandé à mes amis de me donner un mot chacun, que je devrais d'inclure dans mon prochain texte. La liste est la suivante : oursin, papa, marie-salope (note : c'est un bateau), pipe, lune, crôute, Patrick, Henri, rhubarbe, tâche, Mésopotamie, cougar, mystère, sarcastique, caligineux, déréliction, dysmo
L'amant d'un jour

L'amant d'un jour

Je m'ennuie, c'est terrible. J'ai la sensation que cet ordinateur aspire lentement mon cerveau et le transforme en une coquille vide. J'ai besoin d'air. J'ai besoin de nicotine. J'envoie un message sur la messagerie interne à un de mes collègues pour proposer une pause clope. Il accepte immédiatement et nous longeons les longs couloirs blancs en
Born to die

Born to die

On fabrique des souvenirs comme on empaquète des raviolis en conserves dans les usines. On est 24/24 sur nos téléphones sans savoir le temps qu’il fait aujourd’hui. On envoie des textos à des gens à l’autre bout du pays. On leur raconte des choses futiles et inutiles. On fait semblant d’avoir quelque chose à dire pour oublier qu’on
Addiction brulante

Addiction brulante

Quand est-ce que la situation a dégéné ? Je ne sais pas quand cela a commencé. Je n'y comprends rien.Je t'ai vu pourtant des centaines de fois. Je te voyais, je te parlais, tu me répondais, nous rions, nous mangions, nous buvions, nous faisions la fête. Tu étais là parmi les autres, j'étais là parmi eux. Un au milieu et moi autour. Nous f
Auto condoléances

Auto condoléances

Comment ? Comment suis-je supposé vivre et me lever tous les matins et pensant que rien ne m'attend ? Pourquoi continuer à ouvrir les yeux et à respirer ? Je n'ai rien. Plus rien. Je suis rentrée dans le cycle pourri du métro-boulot-dodo. Mon job n'a rien d'extraordinaire, il n'est pas si mal et il paye le loyer et les factures. Je me fais pit
Ponts des arts

Ponts des arts

Le temps du bonheur étant présent, les tourments n'existent plus. Leur définition même se meurt dans un écho lointain. Les fantômes se sont éteints, les démons sont partis. Les ombres menaçantes qui guettaient chaque recoin, ne sont plus que le reflet des objets qu'elles projettent. Une porte qui s'ouvre annonce la venue tant attendue d'un
La nouvelle saison

La nouvelle saison

Après les pluies glaciales d'hiver, les branches fragiles et endormies ont repris des couleurs. C'est lors des premiers rayons de soleil que les bourgeons encore timides apparaissent. Un peu plus chaque jour, chaque pétale se révéle avec délicatesse. Cette renaissance propre à cette période de l'année, n'épargne pas que les arbres et les j
Là-bas

Là-bas

Derrière de grands murs austères, les hommes esclavagisé aperçoivent les montagnes enneigées, sauvages et escarpées. Leurs formes indomptables semblent leur promettre une liberté dont ils ont été amputés. Par-delà les barrières, l'inaccessible rêve que tous les hommes convoitent jalousement, semble les narguer. Ils admirent, impuissant
Seras-tu là ?

Seras-tu là ?

Mon amour, je t'ai si longtemps attendu, que je pense que je ne t'attendais plus vraiment. Comment trouver un sens à tout ça ? La vie ne voulait pas de notre union. Nous nous sommes tant cherché, nous nous sommes tant égarés dans les bras des autres, comment expliquer que le destin nous ai enfin sourit ? Cela parait si improblable que je me de