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Le blog de gasparno.over-blog.com

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Ce blog est pour moi l'occasion d'écrire sur quelques films que j'ai aimé, ou parfois moins aimé. Ecrire, mais sans jamais dépasser une trentaine de lignes. D'abord parceque mes compétences ne me permettent pas d'en écrire plus. D'autre part parceque d'autres que j'adimre le font mieux que moi sur d'autres blogs. Je noterai les films récents sur 5. Bonne lecture.
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Articles : 55
Depuis : 02/01/2011
Categorie : Mode, Art & Design

Articles à découvrir

café society: idéaux vs argent

café society: idéaux vs argent

La reconstitution du Beverly Hills des années 1930 est savoureuse. Les piscines, les balcons, les costumes, les voitures, tout y est, les lumières sont magnifiques et les dialogues, à coup de name dropping nous plongent dans l'époque. L'autre bon point du film, c'est son scénario, très bien ficelé, comme souvent chez Woody. Un jeune homme, B
Polanski: femmes vs hommes (le couteau dans l'eau, répulsion, cul de sac)

Polanski: femmes vs hommes (le couteau dans l'eau, répulsion, cul de sac)

Polanski's debute. Les premiers films de Polanski sont de bons films, divertissants, mais avec un léger grincement anormal morbide qui nous confirme que l'on a déjà affaire à un grand cinéaste. Le couteau dans l'eau est formellement magnifique, sur l'eau, cela rappelle le film de Clément avec Delon et Ronet, "plein soleil": 2 hommes jouent le
la dame de Shanghaï: tomber dans le piège des apparences

la dame de Shanghaï: tomber dans le piège des apparences

Un polar, un film noir, construit un peu sur la trame de double indemnity de Billy Wilder, sorti 2 ans plus tôt : une femme appâte un benêt musclé pour le manipuler et l’impliquer dans une sordide affaire de meurtre. Le scénario est un brin plus compliqué car l’ambition de Welles est (comme toujours) hénaurme ! ceci-dit, sa mégalomanie
snow therapy: contrôler sa nature

snow therapy: contrôler sa nature

La neige, très filmique. Les cadres, le couloir de l’hôtel, les couloirs de télécabines, très filmiques. Un contraste entre ces cadres. Peut-être. Les lumières qui flashent le long des routes la nuit. Une nature encadrée. Les avalanches. L’homme contrôle la nature dans ce film. Mais l’homme ne contrôle pas SA nature. Il s’enfuit
rashomon: l'art du suspense à son apogée

rashomon: l'art du suspense à son apogée

Rashomon est un film magnfique formellement, constamment surprenant autant sur le fond que sur la forme, et même palpitant. C'est un des plus intenses suspenses que je n'ai jamais vu: l'art du suspense à son apogée. Je pèse mes mots. une belle première séquence dans la forêt nous met aux prises avec un jeune chevalier qui suit un jeune coupl
Hiroshima mon amour: comment renaître

Hiroshima mon amour: comment renaître

C'est vrai que les dialogues de Marguerite Duras font peur mais finissent par faire mouche. Le ton faussement éteint fait beaucoup pour accentuer la tragédie. Cette tragédie est avant tout celle d'une femme blessée, traumatisée par sa jeunesse en France, par les sentiments qu'elle a éprouvé puis dû réprimer. Emmanuelle Riva donne sa grâce
les choses de la vie: encaisser sans se désintégrer

les choses de la vie: encaisser sans se désintégrer

C’est un film sur la dépression. Un monde qui va trop vite, des voitures partout, des problèmes sentimentaux qui s’accumulent à force de fatigue, de non-dits, un idéal professionnel qui s’évanouit, un fils qui grandit trop vite, qui n’a plus besoin de vous. Oui, le personnage de Piccoli déprime. Son accident est évidemment le clou du
Lola de Jacques Demy: l'amour rêvé

Lola de Jacques Demy: l'amour rêvé

Lola est une jeune femme naïve, ingénue, mais sexy. Une image de la femme qui ferait bondir les féministes. Elle est évaporée, idiote, gentille, danseuse, tout ce qu’il faut pour satisfaire le fantasme de l’homme macho. Et en plus, elle attend sagement un homme qui l’a engrossée 7 ans plus tôt et qui est parti courir le monde pour fair
everything will be fine: écrire, un métier pas comme les autres

everything will be fine: écrire, un métier pas comme les autres

Pourquoi ce film n’a pas marché ? il est délicat, beau, tendre et vrai. Il a tout ce que j’aime. Beau car Wim Wenders n’a rien perdu de son sens du cadre. Les paysages enneigés, la mise en scène, les décors sont toujours esthétiques, délicats, justes. La mise en scène est fluide, juste ce qu’il faut, lente, mais pas sirupeuse. Un do