Vu dimanche : J'ai beaucoup aimé ce film sur Mandela. J'avais aimé Good Bye Bafana, je n'avais pas aimé Invictus. Celui là est pour moi le meilleur film sur ce grand homme, même s'il est évidemment difficile de résumer une vie aussi riche en un peu plus de 2 heures. J'ai particulièrement aimé le portrait de la si belle Winnie. On comprend,

Voici mes dernières acquisitions en termes de tricotin. Comme toujours j'achète aussi bien des modèles anciens que neufs. L'objectif est d'avoir des tricotins variés et rigolos, je ne recherche pas particulièrement LE modèle d'exception ! certains atteignent maintenant les 200 euros, personnellement, je reste dans un budget raisonnable mais q

de la "tétralogie" d'Elena Ferrante....L'amie prodigieuse. Dès les premières pages, on est happés par ce récit. Toute l'ambiguïté de cette relation, les doutes de Léna, sa constante impression d'être une usurpatrice qui évolue dans un monde qui n'est pas le sien...font le régal du lecteur. J'ai à la fois hâte d'avancer dans l'histoire

Cela fait maintenant plusieurs années que j'adore lire Elizabeth George. Ses personnages, Lynley, Helen, Simon, Deborah sont excellents, mais ma préférée reste Barbara Havers. J'ai eu récemment la surprise de découvrir que ces romans ont fait l'objet d'une adaptation par la BBC : "Meurtres à l'anglaise" diffusée tous les après-midi par C8.

Dernière réalisation, modèle de la revue "De fil en aiguille", encadrement personnel.

Je viens de terminer "Je suis Pilgrim" de Terry Hayes. Roman génial, entre le polar et le roman d'espionnage. Habituellement je ne suis pas une grande fan mais je dois dire que ce livre captive et qu'on ne le lâche que lorsque l'on arrive à la dernière page. Il fait partie de la catégorie "Dommage qu'il soit terminé" !

Charles Juliet ... « Lorsqu’elles se lèvent en toi, que tu leur parles, tu vois s’avancer à leur suite la cohorte des bâillonnés, des mutiques, des exilés des mots. Ceux et celles qui ne se sont jamais remis de leur enfance. Ceux et celles qui s’acharnent à se punir de n’avoir jamais été aimés. Ceux et celles qui crèvent de se m

Il meurt lentement celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux. Il meurt lentement celui qui détruit son amour-propre, celui qui ne se laisse jamais aider. Il meurt lentement celui qui devient esclave de l'habitude refaisant tous les jours les mêmes chemins,

Lecture parallèle de l'étranger et d'une biographie du livre (lecture dans le cadre du Grand prix des lectrices Elle dont je suis membre du jury 2017)