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Zahra Djam est poète écrivain (Nouvelliste, romancier)... à la recherche d'un éditeur...
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L'EDUCATION PORNOGRAPHIQUE (Titre générique, en référence au manuscrit que j'ai écrit sous le pseudo de Zahra Djam)
Recueil de Nouvelles et de Poésies de différentes factures et styles, du plus classique au plus moderne. Les thèmes dans la lignée de Zola, John Fante, Henry Miller, Charles Bukowski, Philip Roth, Tahar Benjelloun, et bien d'autres...; tournent dans le cadre d'une famille d'origine maghrébine et de culture musulmane, autour de l'interdit, du tabou, "du vulgaire", du "répugnant", de la sexualité, de la pornographie, de l'amour, de l'infidélité, de la crise de la quarantaine, de la crise identitaire, du déclassement, de l'immigration, de la rêverie, du romantisme, de la psychologie, de la violence, de la réconciliation, de l'interrogation, de la question du couple, de l'homme et de la femme, du rapport à la religion, à la société, du terrorisme, de la (post) modernité, de la désillusion, du désenchantement, de la folie, du surnaturel dans la lignée de Maupassant, d'Edgar Poe ou de Kafka... Bref, tout ce qui constitue le sel de la littérature.
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Depuis :
01/11/2010
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
La couleur de tes yeux * Ici il fait gris mais du bleu ciel pointe dans tes yeux Sur le quai nous jouions aux jeunes amoureux Entourés du vacarme de la foule, des trains et de l'orage Comme suspendus, le temps d'une rêverie Et sur nous l'averse Coule comme toute cette nuit Empreinte de nos corps enlacés et en nages C'est déjà l'automne mais le
Je ne sais plus… * Je ne sais plus À qui appartient mon cœur Je ne sais plus Lorsque je vois ces amants enlacés * Je ne sais plus Toujours cette crainte d’être privé de bonheur Je ne sais plus Comme s’il y avait une règle * Je ne sais plus Comme une invitation à outrepasser Je ne sais plus Ces demoiselles avec leur sourire espiègle *
Confinement, Huis-Clos & Introspection (partie 3/3) IV (La fille du consul) Sur les murs des encadrés avec des enluminures façon broderie en or de versets du Coran. Et dans un coin le drapeau de la Turquie. Dans un cadre impressionnant au fond du bureau style ottoman, la figure du président actuel : un visage sévère avec des yeux cernés et un
Confinement, Huis-Clos & Introspection partie (1/3) On voit la tour Eiffel à vol d’oiseau au-dessus des immeubles. Habituellement on entend le bruissement de la circulation. On n’est pas loin non plus de Montparnasse le quartier des artistes, celui de la belle époque. Les bâtiments sont toujours aussi gris, les appartements au style Haussman
Madame vos pieds m'ont fait tourner la tête, poème de Zahra Djam.
Madame vos pieds m’ont fait tourner la tête… [1] * Croisés négligemment comme deux hirondelles Madame vos pieds m’ont fait tourner la tête Comme obsédé par le jeu du joueur d’échecs [2] Le satin et le nacre ornent vos magnifiques orteils Comme au son d’une musique, le brouhaha d’une fête Résonnent en moi toutes les défaites, e
Confinement, Huis-Clos & Introspection partie (2/3) II (Le trompettiste) Des murs jaunis par le temps, avec des motifs des années 60-70. Tout est vintage, resté dans son jus. Même le fauteuil Chesterfield au milieu du salon de ce petit studio avec la table basse en verre et le cendrier débordant de mégots donnent cette impression d’un arrêt
Tes seins * J’aime, je kiffe, je rêve de tes seins Lorsque glissent encore mes mains Mon mât raide dans les draps tendus Ta peau, la mer à perte de vue La chaleur douillette entre eux Comme un bateau dans ton creux * Vagues et ondulations de tes reins Au rythme de tes généreux seins Des roulis, des tonneaux enragés A tes aréoles, tes této
Mes insularités poétiques * Abolis bibelots d’inanité sonore [1] Transit réseau suport de rigidité ? Pétri faisceau retors d’insanité ? Allegro flétri de mondanité pléthore * Nanti forclos de vulgarité décor Asservi tombeau dévore de popularité ? Amaigri l'albatros [2] explore mes insularités ? Anéanti trémolo d’irrégularit
Rêveries célestes * Lorsque s’enroulent mes rêveries Tel un drap céleste autour de ton corps Et que pleuvent toutes mes envies Étoiles filantes, météorites en corridors Promesses et vœux côtoyant l’infini Alchimiste de ton cœur en poussière d’or Dort sur mon épaule ma douce chérie Sorcier qui essaie en vain mille sorts Indépenda
Est-ce folie ? * Est-ce folie que de crier ton nom Comme l’écho brisé qui me revient Je n’suis vraiment pas un parangon Juste un de ces poètes ou vauriens J’avais vu le mystère dans ton regard Mélange de tristesse, de joie, et de douleur Miroir de ton âme, reflet de mon âme Sans paillettes, sans artifices et sans fards Tranchante comme