Avant d’aller à Salvador de Bahia, nous programmons un arrêt de transition avec un plus de confort : Praia Do Forte. Nous sommes rodés, un tour en vespa-taxi nous permet de choisir exactement ce dont on a envie : la location d’un loft dans un condominium (lotissement gardé) tranquille, à deux pas de la plage et pas trop près du centre vil
valou et jules
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Tourisme, Lieux et Événements
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Les vols intérieurs sont décidemment moins chers que les longs trajets en bus. D’un saut d’avion, nous nous retrouvons donc à Olinda. La légende raconte que « oh linda ! » (Que c’est beau !) fut le cri poussé par un portugais en arrivant, au XVI siècle, dans ce petit village. Peu importe la véracité du propos, il est indiscutable qu
Trente heures pour un voyage, en bateau, en taxi ou en bus, en passant par les gares routières des villes qui défilent : Rio, Vitoria, Eunapolis et enfin Porto Seguro. Un dernier bac et nous arrivons à Arraial de Ajuda, notre destination. Nous louons le premier étage d’une maison familiale sur la place du village. Trois chambres, deux salles
Dernier bain, dernier petit dej, dernier transport en collectivo, dernier apéro, dernier jogging sur la plage, dernière caïpi, dernière cigarette, dernier baiser, dernier dîner… on s’allège de nos derniers livres et nos anti-moustiques, dernier tudo bem, dernière coco, dernière nuit, dernier bouclage de sac, derniers Reals dépensés, d
Bien sûr, en une année nous avons changé, comme tout le monde d’ailleurs. Mais le voyage a apporté sa contribution à des évolutions qui n’aurait pas forcément eu lieu. D’abord, les enfants. Cléo, propre la nuit dès octobre, n’a accepté de quitter sa couche la nuit qu’à l’unique condition d’avoir une chemise de nuit (elle n
C’est une petite maison, deux palmiers penchés, comme un cliché, la sépare de la mer : Porto da Rua, dix jours en un clin d’œil. Des heures de lecture, de mots fléchés devant la mer entre deux trois pompes ou un jogging (même Valou s’y met et part maintenant courir toute seule). Tous les jours, on part à l’aventure sur « l’Ile »
9 mois de camping-car, et puis c’est l’expulsion ! C’est peut-être mieux comme cela. Il nous a rendu de fiers services, nous donnant la plus grande liberté en sillonnant quelque 30 000 kilomètres de routes et pistes. Pour Julien, en tout cas, c’est un peu le soulagement. Le costume de skipper a été parfois un peu lourd et bien stressan
Notre descente vers Salvador nous conduit à Maceio, banale station balnéaire. Notre prochaine étape, Mangue Seco, nous a été recommandée par des voyageurs belges. Les meilleurs plans s’échangent en cours de route. Mangue Secco, de l’autre côté du fleuve devrait disparaître d’ici une vingtaine d’années, recouverte par une grosse d
Comme un clin d’œil, il est là juste à nos pieds, le Grande San Paulo, notre navire, celui qui il y a dix mois nous a amenés vers l’aventure. Bien rangé le long du quai de Salvador de Bahia, il offre son pont aux grues qui déchargent les containers. C’est drôle de le voir et nous sommes aussi émus que les enfants. Après avoir passé