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danièle dossot

danièle dossot

poète et peintre. Ouvrages publiés: Ce qu'il reste de l'Aube, Atramenta.2013 Les Passantes,2014 Stellamaris. Nocturnes,2017 Stella maris. Les Ombres de Passage, ASPECT, 2018

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les Passantes.poèmes de danieledossot

poésie.peinture. aquarelles. activités artistiques...
danièle dossot danièle dossot
Articles : 8
Depuis : 13/07/2014
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

ETOILES MORTES Elles sont parties dans la nuit froide de décembre les étoiles sans ombre me laissant l’âme nue Le ciel couvert installe sa grisaille à l’envers des visages sans regard au passage du vent Silhouette désaffectée ma vie n’est plus qu’errance où s’essouffle la nuit Ma douleur est sans voix et je n’ai plus de cri pour

Les Ombres de Passage

CARNAVAL Volées à la terre les quelques bribes que les oiseaux cacheront nous irons hors les cages tantôt traverser la surface des blés L’ordre établi des pierres nues dans le silence obscur nous pousse à regarder plus loin que nos voilures endeuillées C’est à force de quotidien que nos mots comme flèches éclateront les baudruches De

Sur la pointe des pieds se confronter au rêve Déchiré le nuage de la conscience il faut plonger dans l’irréalité du monde L’aventure commence quand vous ouvrez la page Ne pas frémir La lucidité éblouit le doute Le suivre là où il descend Aller vers la lumière qui gîte au fond du trou La terre est fraiche et potentiellement riche de
à vendre

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on trouve ce recueil (d'excellente qualité, si,si ;) chez votre libraire, sur Amazon ou Chapître ou en me le commandant directement en laissant un message
Brocéliande

Brocéliande

BROCELIANDE J’ai pris le chemin des fées les luminescences bleues guidaient mes pas égarés le bois par moments s’ouvrait La source au creux du vallon avait franchi les rochers préférant à l’ondée l’aube les bêtes s’étaient enfuies Rien ne laissait supposer qu’une vie était possible cachée dans le creux du bois Mais je devinai

Elle a jeté son châle sur son épaule Et sans un regard dans la glace Elle est partie. La Ville l’attendait Avide et bouillonnante. Une vie sans partage pourtant Et sans avenir. Le grand fauteuil est nu Dans la chambre vide. Le chat a pris sa place Et l’horloge esseulée S’est raccrochée au Temps. Symphonie de l’aurore, Le ciel vibre sur

LES PASSANTES. Elles marchent le long des vitres, Sur les trottoirs de la ville. On entend quelquefois le clapotement Des hauts-talons de leur conscience. Passantes, Elles réveillent l’inutile soupir Des chats errants. Complaintes sans musique De ces compagnes du silence, Leurs mots s’agraferont Discrets, au revers De vos vestons d’indiffér
Les ombres de passage

Les ombres de passage

Quitte à reprendre le voyage / Il conviendra de supprimer / Toutes les ombres négatives/ Et les romans insatisfaits UN TEMPS A ROMPRE Il fait un temps de laine morte un temps de brumes torturées entre les murs de la maison vivre devient plus douloureux Les chaines en vain s’étirent au puits Dans l’enchevêtrement des pierres Les eaux du lin