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POESIE

Communauté d'échange, de partage et de publication de textes poétiques, destinée aux auteurs et à tous les amateurs de Poésie ou de Prose poétique

Gérée par Aralf

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09/04/2015

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Articles récents de cette communauté

♥ Ainsi soit-il_Alain Morisod & Sweet People ♥

♥ Ainsi soit-il_Alain Morisod & Sweet People ♥

Magnifique chanson des Sweet People bien interprétée par Julien Laurence * PAROLES * Comme le navire en détresse Accroché à un SOS Comme la flamme qu'on allume Source fragile dans un refuge Comme une prière les yeux fermés Je veux t'aimer ainsi soit-il Comme le marteau sur l'enclume Lorsque deux Magnifique chanson des Sweet People bien inter
Signée La Survivante

Signée La Survivante

Pensez-vous que je resterais face contre terre, après tout ce que vous m'avez fait endurer? Non ! Je suis plus solide qu'un étalon et plus puissante qu'un volcan. Je ne peux pas m'asseoir ici, seule, malheureuse et continuer à nettoyer les gouttes de sang de mon cœur brisé ! J’ai quitté la maison de l’enfer. Je me suis envolée loin de vo
Passementeries

Passementeries

... Ce ne sont, il est vrai, qu’autant de menteries ... / Dérisoires atours et passementeries ... Songent ces mélodies, en moi, comme des fleurs,Il me faut les cueillir pour humer ces parfums,Et puis, dans mon herbier, coucher ce souvenirEn un lacis de mots que j’orne d’une rime. Souffrez qu’en ce champ clos où mon verbe s’escrime,Je f
Chronique de mon dernier livre par Dm Victor

Chronique de mon dernier livre par Dm Victor

"Je crois qu’il y a longtemps que je n’avais pas lu de la poésie de ce niveau. Lætitia Gand est un de ces poètes qui emmènent le lecteur dans leurs récits, leurs poèmes, comme Léonard de Vinci ou le Caravage nous emmènent encore dans le clair-obscur de leurs tableaux.C'est de l'art. Je vous en conseille la lecture. " Dm Victor https://g
LA MORT VIENDRA ; Césare Pavese

LA MORT VIENDRA ; Césare Pavese

La mort viendra et elle aura tes yeux cette mort qui est notre compagne du matin jusqu'au soir, sans sommeil sourde, comme un vieux remords ou un vice absurde. Tes yeux seront une vraie parole un cri réprimé, un silence Ainsi les vois-tu le matin quand sur toi seule tu te penches au miroir. O chère espérance ce jour-là nous saurons nous aussi
Aurélien di Sanzo - Se taire dans le silence -  ALLEZ VOUS-EN  

Aurélien di Sanzo - Se taire dans le silence - ALLEZ VOUS-EN  

C’est au milieu de rien Que pour la première fois Je pense à tout. C’est au milieu de tout Que je ne parviens jamais À ne penser à rien. Allez-vous-en, laissez-moi seul Que je puisse écrire à ma guise Ne partez pas, non revenez Que je puisse gratter le papier De vous j’ai cru faire le deuil Je suis le martyr de l’exil Qui a tiré le l
Poésie en Stéphanie - En terre Bourbonnaise - Anne-Chantal Berger

Poésie en Stéphanie - En terre Bourbonnaise - Anne-Chantal Berger

Dieu ! Que j'aime les yeux habités de silence, Ouverts sur le ruban rouge de l'infini, Avec pour horizon les odeurs de l'enfance, Celles de la glycine, celle du pain bénit... Le soir, agenouillé sur le tremblé du jour, Le clin d'œil du soleil, au paysan meurtri, Qui, las de son labeur et traversant la cour, S'en va rêver sa nuit, au fond de s
Maison paternelle

Maison paternelle

Maison paternelle Sol que j'ai foulé Marches qui m'avez porté Cuisine qui m'as nourri Salon qui m'as souri Escaliers qui grincerez encore Même demain sans remords Ce soir je vous laisse Chambre qui as façonné mes rêves Grenier qui as joué sans trêve Tuiles qui m'avez préservé Murs qui m'avez édifié Ce soir je vous laisse Toi jardin qui
HOMMAGE....

HOMMAGE....

Aujourd'hui, 5 décembre 2017, Jean d'Ormesson a dit adieu à cette vie qu'il aimait avec jubilation et passion. Plus qu'un grand académicien, c'est un HOMME VRAI, un amoureux des mots et de la vie, dont nous nous rappellerons avec une joie infinie et une tristesse douce et émue. Merci, Monsieur d'Ormesson pour cet amour de la vie que vous nous a
Offrandes

Offrandes

Donne-moi un sourire où éclairer ma nuitEt la fleur de ton rire, émondé comme un fruitQue l’on mord insouciant, ivre de ses saveurs,Où nous grise en l’été l’effluve et les senteurs. Donne-moi un baiser pour défroisser le pliDes boucles d’amertume à ma bouche d’ennuiOù des songes mauvais dessinent, vers le soir,Frises désenchant
(Vous ne méritez pas de titre)

(Vous ne méritez pas de titre)

Les puits aux vœux sont remplis de ronces et d’ortiesRien de bon ni de mal n’en sera jamais sortiEst-ce pour ça que des jeunes font marche arrière Tels des arbres desséchés près du ruisseau,Sans rêve, préférant devenir des pierresQue de tremper leurs lèvres, boire notre eauTous on le sait bien, on nous a tant mentiQue tout ce qui parl
Mort à l’ite

Mort à l’ite

Clovis Trouille (1889-1975) Le mandrill, 1934, détail Le tatouSans tabou Ni tintouinDu babouin Tatoué,Pas doué, Se déditDe l’édit Sans crédit,Contredit, Des mandrills− Entrent-ils ? Quel tabac !Ce débat Sans début̶ Quoiqu’on but À son butAu rebut. C’est ainsi,Que, voici, On rabatCe combat Au hasard Sans égard. Cette fableImprobab
Poésie en Stéphanie - Martine Pichoir - Un jour

Poésie en Stéphanie - Martine Pichoir - Un jour

Un jour Les dangereuses excavations Creusées par les peurs juvéniles se refermeront en nous. Un jour Le temps fuira les montres L'été survivra à l'automne Les sourires éclaireront les nuits Le soleil épousera la lune Un jour nous déploierons nos ailes Nous courrons sur les larmes Nous agréerons la légèreté Nous tiendrons debout Un jour
Jardins de Villandry.

Jardins de Villandry.

Mosaïques de parterres aux saveurs cultivées ! Dessins d’un Le Nôtre aux courbures effilées ! Allées aux tendres cultures si raffinées, si colorées ! Harmonie qui n’a de cesse qu’une raison détournée ! Fruits et légumes sont sous l’Empire du jardinier, Fraîcheurs d’un printemps libre de ses sentiers ! Lourdeurs d’un été ép
Poésie en Stéphanie - Papillonage et chatoyance - Renaud Sébille

Poésie en Stéphanie - Papillonage et chatoyance - Renaud Sébille

lors en for secret, je pleus un peu je cierge lent de plans en temps a des allumements de nuits, ici et libres de longs séjours je coeure des heures jadis fils de cieux je berge demain du moins inépuisable enfin de tune jonchées de pensées de pointille roses traces exhalées garances et brindilles j'exprès des chants souvent résiliant le sens
Crête

Crête

... Elle pousse, s’élève et grimpe vers la crête ... Il faut beaucoup de joie pour que naisse un enfant. L’amour est matériau ultime de la vie, Il sourd de nos désirs et le plaisir d’aimer Fait naître de la chair la chair des nouveaux-né. Mais ce corps qui surgit ne nous est pas donné, Ne nous appartient pas. Nous n’avons rien semé
Poésie en Stéphanie -  Lingua nova ora - François Minjard

Poésie en Stéphanie - Lingua nova ora - François Minjard

Un jarguillon dans son esclure Avait porté son ardillon Sur le fardu d'un marmillon Sans se uscler de sa marlure. depuis les empéreux prettages Qui chamousaient en hirekui, Le camérillo d'immerie S'arrachtachait en arrêtage. Une razette descoulas Qui s'écrusalait en itture Artait et chazait en gibure En drojantrossé d'herbetas. La gerberie du
Prévision du hasard

Prévision du hasard

Ne t’inquiète pas,Dis adieu au fatrasUn jour on seraÀ la barre, guidant nos cargos gîtant, en haute montagne,Tout léchés par les vagues peignées avec soin au râteau.Là-bas, à l’appel des neiges, lancé sur quelques rameauxDes étoiles de mer fleurissent au bras de leurs compagnes. Oui, plus tard : c’est promis.Attends donc : je n’a
Le dessin du Mardi 21 novembre. Rien de sûr...

Le dessin du Mardi 21 novembre. Rien de sûr...

Dessin Jack Guerrier 2017. Rien de sûr… Le long des rives posant le pied sur l’estran Je vois ces milliards d’animaux minuscules Ils ressemblent à l’éther aux fantômes blancs Hantent les cieux les ombres du crépuscule Leurs parures de sable et leurs danses macabres Racontent au monde sa folie son destin La roche et la marne mêlées le
La photo du Lundi 20 Novembre 2017. Un poème de Paul verlaine.

La photo du Lundi 20 Novembre 2017. Un poème de Paul verlaine.

Mouette rieuse. Photo Jack Guerrier 2017. Je ne sais pourquoi Je ne sais pourquoi Mon esprit amer D’une aile inquiète et folle vole sur la mer. Tout ce qui m’est cher, D’une aile d’effroi Mon amour le couve au ras des flots. Pourquoi, pourquoi ? Mouette à l’essor mélancolique, Elle suit la vague, ma pensée, À tous les vents du ciel b
Poésie en Stéphanie - Chimères de septembre - Carmen Montet

Poésie en Stéphanie - Chimères de septembre - Carmen Montet

Le vent dans la lande N'est plus que soupir Les derniers rayons d'ambre Ne sont que souvenirs ! Sur le rivage la pluie s'invite Avant l'orage, le vent s'agite. L'horloge gardienne du temps Dans les méandres du présent Tournent les aiguilles infiniment ! L'hirondelle passagère de l'été A tire d'ailes quittera nos vallées. Ô douce sensation de
Aurélien di Sanzo - Se taire dans le silence - LE PASSAGE DE LA NUIT

Aurélien di Sanzo - Se taire dans le silence - LE PASSAGE DE LA NUIT

C'est une arme de jet ce noir qui s'envole au-delà de la nuit. Ceux de la forêt ont vu passer une étoile filante. Le vent s'est tu dans un air de marbre de plus en plus cassant. Quelques mouvements, les sources de lumière ont vacillé au loin. Le noir s'est installé avec lui les mystères du silence de la terre. Et ceux qui écrivaient ont sou
L’enfant au cerf-volant

L’enfant au cerf-volant

... Qui fait danser un cerf-volant ?... On voit souvent que, sous le ventAvant, s’avancent cerfs-volantsSavants, bravant, dans le levant, L’enfance à l’âme s’élevant.Qui fait danser un cerf-volant ?Est-ce le vent ou bien l’enfant Lorsqu’il s’élance en le suivant,Levant le nez, extravagant,Rêvant, fuguant au firmament ? avril 2007
Poésie en Stéphanie - L'allée des donneuses - Irène Duboeuf

Poésie en Stéphanie - L'allée des donneuses - Irène Duboeuf

L'été. A nouveau. Ses places enfiévrées Ses soirs griffés de cris d'hirondelles Clin d'œil à la vie Le ciel enveloppait les soleils moribonds Dans des draps roses et bleus. On s'attardait, groupés autour de la promesse Des sources aux noms de femmes (1) La nuit, dans le vallon, creusait le sillon noir C'était l'heure où les donneuses d'ea
Gouffre

Gouffre

Tomber dans le gouffre noir ne plus savoir enfin taire -Le silence- puis extraire les mots durs pierres de nuit qui t'arrachent -Le visage- crier chuter même son le bruit sourd déchire l'air -La chute- de ton corps rejoue le même drame ancien de la perte JdB- copyrigth 2017-
Pareil à une mer

Pareil à une mer

Egon Schiele (1890-1918), Les amants, détail Tout moites d’émotion, rouge, pâle, tremblant De la proximité de nos corps se touchant, Nus, comme déchiffrés par un regard aimant, Nous dansons lentement la danse des amants. La fougue et le retrait, la fugue déroulant Son implacable loi dans l’essor de l’instant, Et le souffle embué à la
Mon village

Mon village

J'ai vu de nombreux paysages J'ai traversé les cinq continents Mais rien n'est plus beau que mon village Et mes beaux souvenirs d'enfant Une rivière pour s'y baigner Rincer le linge, y puiser l'eau Pêcher la truite et le brochet Observer les poules d'eau... Une très jolie vallée Où chacun se connaissait Les services étaient... cadeaux On par
Poésie en Stéphanie - panne Sèche - Alain Ughetto

Poésie en Stéphanie - panne Sèche - Alain Ughetto

Les mots ne viennent plus Sous le plume infidèle Pas un ver, pas une ligne. Abîme, vide, néant la source semble tarie. Et je pense soudain Que loin, très loin d'ici Sous l'épais toit de chaume De votre case africaine Votre tourment est tout autre. Il vous faut désigner Qui, de toute votre lignée, Sera de corvée d'eau. Sur la piste érodée
Fables et Fabulistes - Daniel Allemand

Fables et Fabulistes - Daniel Allemand

Le vieil ours et l’abeille Entre l’enfant et le vieillard Le grand âge est un désavantage Pour différencier le sage du babillard Un ours et une abeille nous offrent ce témoignage. Une jeunette butineuse Passa tout l’été à travailler son nectar Quand un vieux Panda s’offrait des siestes heureuses Au fond de son plumard. En sortant de
Pour nos ailes lisser

Pour nos ailes lisser

Jean-Baptiste Greuze (1725-1805), Vieillard et enfant, détail On ne sait pas que l’on varieC’est le miroir qui nous l’apprend,Au paradoxe qu’il nous tendD’une âme, en l’être, en vain marrie. Ce que je fus hier n’est plus,Corps d’enfant puis corps de vieillard,Et pourtant le même regard,Le même cœur, les mêmes flux. Rien en ce
La douceur au propre comme au figuré

La douceur au propre comme au figuré

La douceur, une notion, une qualité universelle qui permet des échanges paisibles... Musique : La rose magnifique -Michel Pepe- (Elixir d'amour) La douceur, La douceur est une sensation légère, Qui vient du cœur, Une qualité qui s'échange, Dans le partage. Elle s'emploie au propre comme au figuré, Influençant la sensibilité. La douceur, u
Aux soirs de nos accords

Aux soirs de nos accords

... Ruine sera bientôt ce chœur mélancolique, / Et ma cendre à son tour, désertera ce nid ... Je sors d’un rêve inquiet où j’avais vu détruitLe lieu qui tant m’est cher, en ma rive lointaine, Et puis, tout à côté de la maison en ruineEn factice apparat une pâle copie. Et j’écumais de rage à voir cette utopie,Délire mensonger
Les clés du royaume. Jacques Viallebesset

Les clés du royaume. Jacques Viallebesset

Regardez-moi Je ne suis qu'un mangeur de feu sans entrave La frénésie du sang noir me dévore le coeur Cet élan, cette force, cette âme, ce courage Qui sont si inutiles si l'on ne peut aimer A qui peut-on donner le meilleur de soi-même Mon coeur est un cimetière couvert de cendres Vivre sans la voir est le pays de la mort Pourtant j'ai une fa
Poésie en Stéphanie - Le poète sauvé - Edouard Piolet

Poésie en Stéphanie - Le poète sauvé - Edouard Piolet

Tu m'as rendu ta feuille blanche Petit écrivaillon du coin ! pas une ligne, pas un point, Du blanc, du blanc en avalanche ! Je t'ai connu plus courageux Même au plus fort de la tempête. Le tourbillon t'a-t-il en tête Effacé les mots et les jeux ? Un diable à la fourche maligne S'est-il permis l'amer excès D'arracher, sans autre procès, Le d
Les Larmes d'Arlequin

Les Larmes d'Arlequin

Poème inspiré par le tableau "Anonyme" de l'artiste mussipontaine Sabrina Gerber dont l'univers abstrait m'ouvre des horizons poétiques. Les Larmes d'Arlequin Je lis les larmes d'Arlequin Fini de rire et de chanter Pour l'aurore aux yeux de gamin Plus de couleurs sur nos pavés Je lis les larmes d'Arlequin Sur nos vergers sans romarin Sur nos qu
VIVRE

VIVRE

VIVRE Cheminer simplement en dégustant le temps Se repaître des yeux, de la peau et du cœur, Se laisser caresser aux caprices du vent Sereine, s’imprégner d’une mélodie-bonheur. Accepter d’être soi, de se sentir vivant, Prendre conscience parfois d’être au bord du néant, Et exulter de joie pour un rayon de lune, Puis regarder en soi
BONHEUR

BONHEUR

BONHEUR Tourner les pages délicates ou douloureuses Du livre de la vie, sans rancœur ni rancune. Se souvenir des heures chaudes, légères ou joyeuses Sans se lamenter, sans acrimonie aucune. Regarder vers demain avec alacrité Le cœur calme, serein, l’esprit en liberté. Et sourire à la vie, elle nous le rendra bien, Dans une heure, une ann
LA VIE

LA VIE

LA VIE Il y a des jours de pluie beaux comme des soleils, Et des jours de soleil qui nous feraient mourir. Il y a des jours de peine qui parlent d’avenir Et des jours de bonheur où l’on se sent si vieil Que le cœur n’y est pas, que la vie est figée, Où tout paraît fini, vain et assassiné. Et la vie continue, immuable et cruelle…. Et p
Poésie en Stéphanie - Loupé - Chantal Fournier

Poésie en Stéphanie - Loupé - Chantal Fournier

Voler de ses propres ailes Avec le vent en poupe Lâcher ses jeunes envies Au cœur de la moisson Tournesol rouge Des ans qui pointent. Attraper l'instant féérique Auréolé de promesses Craquantes comme des biscuits secs, Et briser les liens De la défaite Pour atteindre le vif du sujet. Vivre ! Vivre ! Là est toute la question Au bon vouloir d
Fables et Fabulistes - Jean Anouilh - La Fille et le Loup

Fables et Fabulistes - Jean Anouilh - La Fille et le Loup

Une fille tomba amoureuse d’un loup Qu’un montreur d’animaux exhibait sur la place, Le jour de sa noce, au village. Il était fier et sombre et de mauvaise grâce, Il faisait quelques tours navrants, Ne semblant pas sentir les coups. Voir un loup enchaîné redonne du courage Au cœur mou des petites gens : Dans le cortège, on s’amusait be
Que c'est chouette

Que c'est chouette

Un proverbe français dit : Fais ce que je te dis, ne fais pas ce que je fais... Dans ce sens voici un poème pour vous : Avis des lecteurs à propos de l'oeuvre Que c'est chouette ! Que c’est chouette !, de Fialyne Olivès
La pythie libérale

La pythie libérale

Marcello, pseudonyme d'Adèle d'Affry, duchesse de Castiglione Colonna, (1836-1879), La Pythie Un mensonge est à l’œuvre aux cymbales du monde, Le profit fait son jeu des fictions qu’il invente, Il sonne le tocsin de ses médias serviles Pour peindre le déclin des civilisations. Assénant chaque jour un flot d’imprécations Il distribue au
Poète et romantique

Poète et romantique

Ne confondez pas le poète et le romantique. Le premierpleurera de l’encre noire alors que le second finira sa vie enlettre de sang.Du vague à l’âme pour l’un au flacon empli de spleen pourl’autre, tout les rassemble. Une même liqueur dans la plumepour un dessein différent.Chaque lettre dessinée pour une sensibilité dénuée de sens,
Poésie en Stéphanie - Nicole Niwa - Le petit chagrin

Poésie en Stéphanie - Nicole Niwa - Le petit chagrin

Sur mon chemin, ce matin, j'ai rencontré un tout petit chagrin. Un petit chagrin de rien du tout qui m'a sauté dans l'œil, comme ça , d'un seul coup... Et voilà que ce petit chagrin de rien du tout, sans le faire exprès, est entré dans ma tête, et il a réveillé tous les autres chagrins, les vieux, les gros, les grands, les durs, les mous,
Futile miroir

Futile miroir

... Alors, comme au matin, jadis, au tableau noir, / On inscrivait la date au déchant de la craie ... Le rêve, sans arrêt, nous dicte une échéanceEn son message obscur encombré d’illusions,Et l’on s’éveille ainsi d’une sente improbableOù nos pas égarés cherchent un horizon. Mais l’on se sent aveugle en sa propre prison,Sans comp
Les mômes

Les mômes

« Le phénomène des enfants vivant dans la rue ne peut que nuire à l'éducation, à la santé et à l'équilibre psychoaffectif de l'enfant en général. Cela requiert la mobilisation de tous afin de les encadrer pas à pas. Les mômes, de Fialyne Olivès Avis des lecteurs à propos de l'oeuvre Les mômes
Souffle du matin

Souffle du matin

Souffle du matin ~ à la fenêtre le lac me sourit ©nk Les haïkus du lac
La poésie se barre

La poésie se barre

La poésie s’est enfuie bien loin de nos vies se disant quel ennui l’espèce humaine ! J’étais bien mieux sur l’olympe des dieux. « Petitesse, ossements* » Plus rien de grand dans ces petites fourmis s’agitant dans de mornes cités de verre et de béton. Ivre de poésie Mercure aux pieds ailés se dit « je suis fini ici ! » Il était
Les syllabes

Les syllabes

Année scolaire 1965-66, école Emile Zola, rue René Viviani à Montluçon, mon livre de lecture... L’odeur est un puissant ressort à la mémoire.Souvent nous retrouvons l’instant, enfoui, secret,Qui nous rend l’émotion de la petite enfanceLorsque, au-delà des mots, le monde, sensations, Bruissait en nous, volage. Au temps où nous n’av
Vue à travers novembre

Vue à travers novembre

Bruits à nouveau anodins, jalons de quotidiens, souvent solitaires dans la montée, maintenant que les lampions se sont éteints, que les maisons d’été ont volets clos. Les hommes regardent d’où ça souffle. Les chiens aimeraient de la boue. Le cimetière fait sa belle. Lui, en novembre il fleurit. Rien ne met plus en colère le marronnier
Poésie en Stéphanie -  Pierre Thévenin - Le voisin du chef de gare

Poésie en Stéphanie - Pierre Thévenin - Le voisin du chef de gare

Supposez que votre voisine Vienne chez vous sans crier gare, Disant : " Votre vue me fascine Et mon mari est chef de gare ". Ce soir-là, de votre maman Déplorant la disparition, Vous avez opportunément Grand besoin de consolation. Rien ne vaut de telles circonstances Pour nouer sous le patronage De cupidonesques instances Des rapports de bon voi
Défaite de l’esprit

Défaite de l’esprit

Caspar David Friedrich (1774-1840) L'abbaye dans une forêt de chênes, détail 1. La parole des dieux n’est qu’un vaste mensonge,Mots de pierre, gravés en des frontons pompeuxQui bornent l'agora de cet inconnaissable,Limite, au firmament, de nos craintes mortelles. Tous ceux qui vont, parés de robes solennelles,Agitant d’un saint livre un