Qui que tu sois Quoi que tu vives Découvres ainsi Même au souffle du temps Même si, doutes, pourtant Qui que tu vois Quoi que tu vises S’enduise à vie Intense cœur, du champ Coquelicot, à jamais enfant
A un moment, inexorablement, Intérieurement, submergeant, Sans prévenir, à cet impossible Alors, animal, l’éveil indicible Le soleil se lève toujours A l’intérieur, au milieu De toute part, sans fumée Plus de figurine, au mieux, L’envie folle, la vie libérée Tous les jours au toujours A si approché, inextricablement Sans préciser,
Une nuit, Une seule, Une, entière Une nuit, La seule, Hublots en verrière Un toi, en mois Une seule nuit Rune, présage Nui entière En toi, ans, moi Une nuit entière Nous, très sage Nous, ainsi Diront Chanteront Nuit entière ! Une seule toute entière Une came, toi, prière Toute folie enterre, Il était une fois Ci nuit entière... Amnésie,
Je ne supporte pas, oh non, à l’idée Oh oui, je n’accepte pas, une telle idée Je ne supporte pas, oh non, à jamais Je n’accepte pas, oh oui, ce tout jamais Et ruissellent aux deux avenues Tempête où grondent, devenu Cet Amour perdu, fin triomphante Vide nu, blessante Je ne supporte plus, oh non, au secret Que oui, je n’accepte plus, u
Cette nuit, comment l’écrire Cette nuit, si étrange à vrai dire J’ai eu la visite d’un ange, en fredonne J’ai vu celle que l’on nomme Wings Girl Venue au songe profond, Si délicieusement Sensation d’elle, firmament Cette nuit, harmonieusement, Wings Girl Ce qu’elle a dit, sens méta chimique Ce qu’elle a produit, offense chimér
On aime comme on sème Nu d’haine, homme en scène On établit comme on est au lit Tourner à se retourner, et cri L’idem où s’écrit Oui, j’t’aime, se crée puis Au silence, l’espoir du poème A la défiance, le soleil en crème Et même seul, sur ce banc, pareil Et vienne, sous ce vent, mienne Qu’importe si tu n’es là, Qu’empo
Hé ben oui tu sauras, oui comme tu dis Ben oui, tu verras, oui tout ce qu’il se dit De ces choses, vieilles roses, toujours unique Vibre le pétale d’âme, pistil de soleil Libre aux couleurs, pâme, distille, la même Tu auras été crème solaire, à me protéger Aveugle, n’avoir vu l’été dans cet hiver Hé ben oui, tu comprendras, tu
Apparue une nuit pleine Le rêve entraine Venue ainsi, même Les étoiles en traines Je ne saurai écrire Je ne pourrai dire Rien que souscrire Plaisirs aux satyres Apparue parmi A part aussi Depuis chaque nuit Je rêve, j’en vis Je ne saurai respirer Je ne pourrai espérer Bien que souffrir Plaisirs, me suffire Pharaon King Phare, on se quitte R
Kam é Léon (paon) En immersion, à l’intérieur, dissimulé Camouflé, protégé pour ne jamais En protection, à toute heure, refusé Ne cherchez, trop saigné, réfugié Le Sentiment pur, l’âme fusionnelle Ce n’est plus que... peine No come-back, no flash-back Fragilisé, tant de lueurs, épuisé Enterré aux mirages, à renier Mortifié
Oui, on sait ensemble Oui, l’affaire ressemble Oui, un fois encore Dévore au corps Haut ! Oui, on sait qu’enlace Oui, le faire délace Oui, le sentiment fort K'l'un si fort Oh oui ! Est-ce toi, moi Est con-fuse-ion Positive sensation Est-ce au pourquoi Chaud ! Oui, sans semblant Oui, sens comblant Oui, une fois encore L’évidence au corps Oh