Pas encore inscrit ? Creez un Overblog!

Créer mon blog
drink 75

Ses blogs

Macrofictions (Aujourd'hui)

Aujourd'hui parce que c'est aujourd'hui
drink 75 drink 75
Articles : 1757
Depuis : 24/09/2015
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Rue des pyrénées

Rue des Pyrénées, numéro après numéro...
drink 75 drink 75
Articles : 327
Depuis : 02/11/2015
Categorie : Littérature, BD & Poésie

ma vie sans biture

Drink 75
drink 75 drink 75
Articles : 692
Depuis : 29/02/2016
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Le blog de ma vie en biture

Des jours et des cuites...
drink 75 drink 75
Articles : 1731
Depuis : 23/05/2009
Categorie : Littérature, BD & Poésie

poésie et brouillard

poésie dans le brouillard
drink 75 drink 75
Articles : 297
Depuis : 29/10/2015
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Sans mémoires.

Sans mémoires.

Rigolo, comme tu auras toujours su façonner ton cadavre puis retenir ton souffle pour ne pas tomber de la falaise. on ne peut pas dire que tu étais très doué pourtant, ni pour la vie, ni pour l'amour, ni pour les sentiments, ni pour l'empathie, ni pour les larmes, ni pour la douleur, ni pour les rires. la vie recommence a peu près chaque insta

Dingue

Aujourd'hui, j'ai reçu beaucoup de messages de gens qui voulaient savoir, ils semblaient surpris, ahuris, ou même inquiets, c'était marrant, aujourd'hui je me suis rendu compte a quel point les gens ne pouvaient pas envisager que je suis complétement et irrémédiablement fou.
Frimer nos douleurs.

Frimer nos douleurs.

Laisser nos corps pourrir et aligner nos âmes, juste se laisser couler, et pleurer nos souvenirs, suspendre les douleurs, vaciller l'émotion de ce que fut la vie, ce qui ne sera pas, ce qui ne sera plus, eprouver les soupçons, d'une vie éternelle, rire, devant les croyances, de ceux qui, immortels, se veulent plus vivants, malgré leur rances e
100 rue des Pyrénées

100 rue des pyrénées

100 rue des pyrénées. troisième étage. le gars est mort. ce fut clinique et rapide. je crois que ce meurtre sera mon dernier. après louise. après ce type qui trainait tout le temps dans le quartier et que j'ai fumé dans sa chambre du 116 rue des pyrénées, le gars du 100 de la rue des pyrénées qui ne se lèvera plus de ce fauteuil ou repo

Loin.

Aujourd'hui, sentir le corps qui lâche, l'âme qui s'épuise, inexorablement, la vieillesse est une saloperie dit cette femme qui ne tient plus debout, c'est assez curieux cette promesse d'éternité et ce sentiment, enfin, que la fin est proche, toute proche.
Déraper

Déraper

Et puis parfois, comme, ne pas, comme ne plus, comme des jours se meurent, ne pas comprendre que les choses sont mortes et enterrées, ne pas, suinter, nos illusions de foutre sur des murs de métal, épurés les tourments, encore, s'enfoncer dans la boue, se rouler dans l'éther, sniffer les illusions, et ne plus revenir, ne pas trouver les mots,
Fumer l'espérance.

Fumer l'espérance.

Tu semblais si docile, mais tu étais brouillard, tu paraissais heureuse, mais tu étais ténèbres, les visions si lointaines que j'ai encore de toi, arpentant les rochers, les vagues, et puis le sable, tu étais coquillage, ou bien étoile de mer, mais tu n'étais pas morte, et tu semblais vivante, aujourd'hui est douleur, tes cendres au fond d'u
101 Rue des Pyrénées

101 rue des pyrénées

Je suis assis a mon bureau du 101 de la rue des pyrénées et je découvre que nick tosches est mort. le meilleur écrivain, le meilleur biographe américain vivant. enfin il lui semblait. il aimait bien la carrière fourre tout, les livres n'ayant aucun rapport entre eux. entre polar, biographie, auto-fiction, roman new yorkais, quand au dernier c

Surprise.

Aujourd'hui, je suis resté un peu surpris, comme groggy, je m'attends a la mort de presque tous mes amis vu leur âge et leur mode de vie, ou de presque tout les gens de ma famille, le peu qu'il reste étant très âgés, mais j'avoue que tu étais la dernière personne dont je pensais un jour apprendre la mort.
Futiles squelettes.

Futiles squelettes.

Je n'ai jamais eu conscience de ton incroyable médiocrité. jamais. l'envie de te baiser devait être trop forte. je ne m'étais jamais rendu compte. ce qui prouve bien que je suis débile. incroyablement et foncièrement débile. je n'ai jamais su détecter les petites bourgeoises, ces petites rebelles qui vivent dans des maisons avec piscine dan