29 Janvier 2013 : 0h01. On s'en branle de ta vie, ça te va ? Qu'est-ce que t'as fais de bien sur les huit dernières années ? T'es heureux ? T'as rendu des gens heureux ? Pourquoi tu parles de toi à la deuxième personne ? Peut être que tu en as marre d'écrire cette espèce de poésie miteuse dont toi seul joui de balancer tout ce que t'as sur

15h19. Réveil un peu tardif. Pour une fois je me rappelle de mon rêve. J'étais dans une galerie commerciale avec plein de personnes, il faisait moitié nuit. Il y avait des bruits étranges quand tout le monde est parti. Un type est sorti de nul part en criant. Je suis parti me réfugié dans des toilettes, et j'entendais des pas insistants appr

Le désir le plus intense, Toujours le précaire, Qui réveille tous nos sens, Rêve d'un avant en intime prière, Je ne pense plus mais je sens, Je ne vois plus mais l'effleure, Je ne connais plus le le temps, Mais le soupire, ce bonheur, L'émotion est une essence, Ta chaleur une récompense, Quand ta fusion un évidence, M'emporte dans cette dou

Je ne serais plus comme avant, le processus de tentative de récupération de ma santé est enclenché depuis quelques mois. Après de grosses vérifications et changements de corps étrangers, de nouveaux périphériques vont bientôt faire leurs apparitions sur ma carcasse de vieux poulet séché. Les filles, je pense que c'est trop tard pour fai

Les putains ont les reconnait de loin, ce sont les seules qui parlent de vous, et qui simulent quand à vos genoux elles vous regardent seul le sourire en coin, Elles qui refusent votre main tendue, qu'elles ignorent bien entendu, puisque l'image est superflue, celle du couple qu'elle a fendue, Marrez-vous, Ôh, garces de toujours, vous les superfi

"Il a eu AIM qu'ils n'ont pas connu, puis MSN, ils ont démarré à MSN, et y'a eu facebook, maintenant y'a plus rien, ils sont passé de narcisso-moi-jai-une-vie au statut d'introverti surbouqué, et ils pensent tout avoir inventé. Pauvre générations. Et moi j'suis là, entre partout et nul part. Surtout ailleurs." Ils sont tous sur facebook à

T'es poussiéreux toi petit blog vert. T'avais été crée dans un élan créatif timide et inconscient, il y a de nombreux mois. Je t'ai laissé un peu seul, depuis fin 2010. Tu m'en veux pas ? Tu sais, puisqu'on est là, je vais te lâcher quelques confidences. Depuis tout ce temps, on aurait pu présumer que mon silence n'était qu'heureux et si

Ce ne sont pas une, ni deux ni trois, mais quatre, feuilles remplies de ce même thème, ou j'ai balancé toutes mes cartes, pour un sourire, qui me rends blême, Dans mon modeste amphi-théatre, ou tu y es ma seule juge, il faut que mes mots enfin éclatent, autre que sur des parchemins de refuge, Ais-je peur du contrecoup, de ta je pense, lente r

T'as la tête en l'air, j'ai le coeur de pierre, mais brisé par tes manières, laissant planer la fin d'une ère, C'est fini cette passion linéaire, qu'on avait en commun hier, le temps a passé, sous les ponts les rivières, coulent toujours, de source vers la mer, T'insistes mais je reste de marbre, Certains de tes propos m'accablent, Quand toi

J'voulais épouser une artiste, qui trouverait bonheur dans ma mélancolie, s'éprendrait de mes jeux de pistes, Me pendrait à ses yeux retouchés de rubis, Elle connaitrait un peu mes dièses, mes attentes et que l'on s'y plaise, Elle saurait aussi mes bémols, mes hontes et craintes sans parabole, Elle aurait le regard friand, de celles qui aime