Elle sait ? Elle va le dire ? Elle sait. M'aurait pas appelé, sinon. Elle sait, mais elle ose pas... pas facile pour elle, je suppose. Pas été facile pour moi, en tout cas. Sacré choc, même. Sacré choc... des « nouvelles » de Marie-Jeanne. Rien que d'entendre... rien que ce prénom.... Marie-Jeanne... tellement longtemps... toutes ces... ri

Il s'éloigne. L'énervement des autres passagers l'énerve, et il a envie de profiter des derniers rayons de soleil. Au bout du parking, il y a une petite rue. Il laisse l'autobus et ses avaries derrière lui, et sort son bout de shit de sa poche. Juste au début de la rue, sur la gauche, il y a un espèce de terrain vague, avec une grande platefo

Marieke, y aurait-il moyen que tu poses de la didascalie. je me suis dit que tu touchais mieux a mise en scène que moi, dc que tes interventions seraient plus pertinentes. Gabriel – On n'est jamais venu, ici. Alice- je sais. J'aime bien cet endroit. Ça me rappelle Fantomas. Gabriel- fantomas ? Alice- la voie ferrée, la nuit, la foret... Gabrie

ce texte, à raffiner, sert de base au synopsis. il est inspiré de cette photo, prise par un pote de Yannick, le coloc de Simon. Rappel : Gabriel est le pote de Pierre Ménard, notre peintre. Alice est la meuf qui pose problème entre eux. je propose que chacun prenne un moment de l'histoire, et le développe comme il veut (dessins, texte, narrati

Encore. Encore... Gabriel se passe la main sur le visage. Il est allongé dans son lit. Il tend le bras. Sa place est froide, son oreiller aussi. Il évite de regarder. Il ramène ses genoux contre lui, et les enserre entre ses bras. Il fait chaud. Mais ses avant-bras disent qu'il a froid. Il a la chair de poule, et même lui, ça l'étonne. Il est

Elle sait. Elle sait ? Elle m'aurait pas appelé, sinon. Elle m'appelle jamais, d'habitude. Et là... comme par hasard... elle a maigri, la frangine. Vieilli, aussi. Comme moi, sans doute. Comme Abdénor. On vieillit vite, dans la famille. Et mal. Y'a qu'à voir son visage. Ou mes mains. Même Abdénor, il vieillit. Il le cache, parce qu'il a les m

Martin Ménard. (1916 - ???) Né en France, sans doute dans le Sud. 1931 : tue un flic, se réfugie en Espagne, à Bilbao. Travaille dans les ateliers jusqu'au 18 juillet 1936 19 juillet 1936 : arrive à Madrid pour s'enrôler dans les milices anarchistes. Prend sa carte à la FAI. Au cours de la guerre, passe ne Aragon, en Catalogne, en Navarre,

pour ceux que ça n'intéresse pas, je poste les différentes codifications de boXon.c'est assez inutile, mais bon, je reçois de smails d'over-blog qui s'inquiète parce qu'il ne se passe rien. une idée intéressante à creuser, d'ailleurs, ce fait qu'il ne se passe rien.... en morse : -... / --- / -..- / --- / -. en code Baudot : 11111 / 11001 /